Bien sûr que ce n’est qu’anecdotique, et qu’il y a une relative contradiction ; détail tout de même, le système de publication automatisé ne fait pas la différence entre les différents articles publiés, ce qui limite un peu quand même la portée du paradoxe (une fois ils avaient mis en vis a vis, sur l’édition papier, une photo d’un type en mercos classe A en train de lever une prostituée roumaine, et une pub pour la meme bagnole ; accident évidemment mais "des lecteurs s’en étaient étonnés" : je me demande toujours lesquels).
Ensuite un lecteur de gauche engagé supporte moins bien la pub, mais pour peu qu’il ait du blé, il est capable d’accorder de l’attention aux pubs statutaires : inutile de vendre de la lessive ou casino (comme l’autre jour) dans libé, mais de la bagnole, du parfum, du cher, sans probleme.
Enfin même si les "coeurs de cible" étaient différents entre le papier et l’internet, c’est le même contenu, à la virgule pres, et la pub internet ne doit pas rapporter grand chose, et surtout pas de quoi balancer l’ancien "coeur de cible" pour un public qui ne raquera jamais pour lire libé. Dans un monde idéal, il y aurait assez de blé avec les ventes, comme pour Charlie hedbo, pour faire un journal sans pub, mais il couterait un peu cher non ?
Bien sûr que ce n’est qu’anecdotique, et qu’il y a une relative contradiction ; détail tout de même, le système de publication automatisé ne fait pas la différence entre les différents articles publiés, ce qui limite un peu quand même la portée du paradoxe (une fois ils avaient mis en vis a vis, sur l’édition papier, une photo d’un type en mercos classe A en train de lever une prostituée roumaine, et une pub pour la meme bagnole ; accident évidemment mais "des lecteurs s’en étaient étonnés" : je me demande toujours lesquels).
Ensuite un lecteur de gauche engagé supporte moins bien la pub, mais pour peu qu’il ait du blé, il est capable d’accorder de l’attention aux pubs statutaires : inutile de vendre de la lessive ou casino (comme l’autre jour) dans libé, mais de la bagnole, du parfum, du cher, sans probleme.
Enfin même si les "coeurs de cible" étaient différents entre le papier et l’internet, c’est le même contenu, à la virgule pres, et la pub internet ne doit pas rapporter grand chose, et surtout pas de quoi balancer l’ancien "coeur de cible" pour un public qui ne raquera jamais pour lire libé. Dans un monde idéal, il y aurait assez de blé avec les ventes, comme pour Charlie hedbo, pour faire un journal sans pub, mais il couterait un peu cher non ?