Il est à regretter que, sous ce joli titre, Monsieur D’Aubert défende son point de vue (non sans fondement) avec si peu de talent.
Dommage que la taxe (car cela en est bien une) sur les supports de sauvegarde ne soit citée que pour lancer une banderille à la gauche.
Regrettable aussi qu’après avoir déterré Mozart et Balzac – on se demande bien pourquoi – il enterre d’emblée tout débat sur la propriété intellectuelle, qui ne se limite pas aux oeuvres artistiques.
En gros, il aura fallu appuyer deux fois sur « Page Down » pour découvrir que voler, ce n’est pas bien. On applaudit mollement d’une main.
Les artistes (pour ne parler que d’eux) méritent meilleur défenseur que D’Aubert. Encore que – sont-ce vraiment eux qu’il défend ?
Merci pour ce lien intéressant.
Il est à regretter que, sous ce joli titre, Monsieur D’Aubert défende son point de vue (non sans fondement) avec si peu de talent.
Dommage que la taxe (car cela en est bien une) sur les supports de sauvegarde ne soit citée que pour lancer une banderille à la gauche.
Regrettable aussi qu’après avoir déterré Mozart et Balzac – on se demande bien pourquoi – il enterre d’emblée tout débat sur la propriété intellectuelle, qui ne se limite pas aux oeuvres artistiques.
En gros, il aura fallu appuyer deux fois sur « Page Down » pour découvrir que voler, ce n’est pas bien. On applaudit mollement d’une main.
Les artistes (pour ne parler que d’eux) méritent meilleur défenseur que D’Aubert. Encore que – sont-ce vraiment eux qu’il défend ?