Ce qui eet un peu bête avec le modèle entrepreneurial, c’est qu’il ne laisse aucune part à l’idée d’une construction sociale non hiérarchisée de manière ultra-rigide et unidirectionnelle. D’où l’idée de base un peu con-con qu’un construit social ne peut trouver son utilité et sa résonnance sociale qu’en s’inscrivant d’emblée dans un modèle économique (comme si, d’ailleurs, le système économique était incapable de s’adapter son environnement !). Ne vous inquiétez pas, il récupèrera tout ce qu’il lui faut, le pôvre. Mais avant cela, il faut tout de même que le construit (ici, internet) ... se construise socialement, c’est à dire qu’il intervienne comme la part du système social global qui lui revient (infrasctructure, role interpersonnel ...).
J’ai alors un peu le sentiment que l’internet et l’Europe, c’est la même chose : on veut faire passer la marchandisation et la monétarisation avant toute idée de valeur personnelle et sociale, comme si c’était dans ce sens que les choses pouvaient le plus naturellement s’enclencher. Les faits et la moindre idée de la nature humaine semblent alors prouver l’inverse. L’économique, de toute façon, viendra, étant transcendant, et en plus il y viendra à flot. La question est alors : où ? (d’où la pétoche actuelle de ceux qui y mettent des billes, qui voudraient bien trouver un moyen de canaliser tout ça pour entrer dans un quelconque peloton de tête, quitte à être dictatoriaux).
Ce qui eet un peu bête avec le modèle entrepreneurial, c’est qu’il ne laisse aucune part à l’idée d’une construction sociale non hiérarchisée de manière ultra-rigide et unidirectionnelle. D’où l’idée de base un peu con-con qu’un construit social ne peut trouver son utilité et sa résonnance sociale qu’en s’inscrivant d’emblée dans un modèle économique (comme si, d’ailleurs, le système économique était incapable de s’adapter son environnement !). Ne vous inquiétez pas, il récupèrera tout ce qu’il lui faut, le pôvre. Mais avant cela, il faut tout de même que le construit (ici, internet) ... se construise socialement, c’est à dire qu’il intervienne comme la part du système social global qui lui revient (infrasctructure, role interpersonnel ...).
J’ai alors un peu le sentiment que l’internet et l’Europe, c’est la même chose : on veut faire passer la marchandisation et la monétarisation avant toute idée de valeur personnelle et sociale, comme si c’était dans ce sens que les choses pouvaient le plus naturellement s’enclencher. Les faits et la moindre idée de la nature humaine semblent alors prouver l’inverse. L’économique, de toute façon, viendra, étant transcendant, et en plus il y viendra à flot. La question est alors : où ? (d’où la pétoche actuelle de ceux qui y mettent des billes, qui voudraient bien trouver un moyen de canaliser tout ça pour entrer dans un quelconque peloton de tête, quitte à être dictatoriaux).