13 juillet 2001, 15:01, par Denis Dordoigne, président de l’association exprime-toi.net
Le problème ne vient pas de la fin du gratuit, mais du fait qu’il est commencé !
Rappelons-nous la grande arnaque de la décennie 1990 : les start-up. On faisait gober à des actionnaires qu’une entreprise pouvait dépenser des millions de francs puisqu’elle allait se rembourser avec des clicks à 10 centimes.
Il y en a qui ont compris l’astuce et qui se sont fait passer pour des génies en s’en mettant plein les poches avec l’argent des actionnaires (vous vous rappelez, les petits jeunes qui valaient soit-disant des millions) avant de mettre la clé sous la porte.
J’ai appris à l’école primaire qu’il fallait un milliard de clicks publicitaires à 10 centimes pour rembourser 100 Millions de francs, et le système était voué à l’échec depuis le début !
C’est dommage, mais on voit bien qu’il n’y a que dans le milieu du web que l’on nous a fait croire au tout gratuit. Regardez bien autour de vous : vous payez votre journal, votre croissant, votre café,...
Les chaînes de T.V. ne se contentent pas non plus de la publicité, on a droit au téléachat, aux jeux téléphoniques à 10 francs la minute, etc.
On ne doit pas parler du bien-être de l’actionnaire, il a tout perdu dans l’affaire. Une entreprise a besoin d’argent pour vivre, alors le vrai problème est : pourquoi avoir laissé se développer le gratuit ?
Le problème ne vient pas de la fin du gratuit, mais du fait qu’il est commencé !
Rappelons-nous la grande arnaque de la décennie 1990 : les start-up. On faisait gober à des actionnaires qu’une entreprise pouvait dépenser des millions de francs puisqu’elle allait se rembourser avec des clicks à 10 centimes.
Il y en a qui ont compris l’astuce et qui se sont fait passer pour des génies en s’en mettant plein les poches avec l’argent des actionnaires (vous vous rappelez, les petits jeunes qui valaient soit-disant des millions) avant de mettre la clé sous la porte.
J’ai appris à l’école primaire qu’il fallait un milliard de clicks publicitaires à 10 centimes pour rembourser 100 Millions de francs, et le système était voué à l’échec depuis le début !
C’est dommage, mais on voit bien qu’il n’y a que dans le milieu du web que l’on nous a fait croire au tout gratuit. Regardez bien autour de vous : vous payez votre journal, votre croissant, votre café,...
Les chaînes de T.V. ne se contentent pas non plus de la publicité, on a droit au téléachat, aux jeux téléphoniques à 10 francs la minute, etc.
On ne doit pas parler du bien-être de l’actionnaire, il a tout perdu dans l’affaire. Une entreprise a besoin d’argent pour vivre, alors le vrai problème est : pourquoi avoir laissé se développer le gratuit ?
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