"il ne faut pas perdre de vue que si on ne fait plus rentrer d’argent dans la caisse de Danone, il faudra qu’il diminue sa production. Et il aura besoin de mois de personnel, donc devra licencier d’autres personnes : et ce sera encore plus grave et de notre faute" => Danone est une entreprise florissante, faisant des bénéfices, et surtout avec une bonne trésorerie. De plus, le plan social que ce groupe s’apprétait à mettre en place a certainement déjà été provisionné : autrement dit, le coût des licenciements/fermetures d’usine est surement déjà inscrit dans leur comptabilité, et cela avant même qu’ils aient eu lieu ! Moralité, Danone n’est pas un groupe "aux portes de la mort", comme a contrario le secteur des startups en ce moment, et dans ce cas des licenciements massifs ne sont pas vraiment à prévoir, même après une chute des ventes (et pour parler de celles-ci, il serait intéressant de connaître le %age de C.A. perdu avant de crier au loup, ou à la victoire !).
"Ce que je veut dire, c’est que tout le monde a, à mon avis, de bonnes raisons pour licencier ; grosses et petites entreprises, et entreprises à forts ou moins forts rendements" => peut-être mais ce n’est pas de la faute des ouvriers de Lu si leurs produits ne sont pas vendus... Cette joli société qu’est Danone devrait améliorer ses parts de marché, puisque les usines qui devraient être fermées (en France et ailleurs) ne tournaient déjà plus à 100 % de leurs capacités de production : le fiston Riboud, il devrait peut-être s’inquiéter un peu de sa batterie de commerciaux, parce que quand la force de vente ne suit pas les ratios de productivité, c’est qu’on a fait une erreur de stratégie commerciale, n’est ce pas !
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"il ne faut pas perdre de vue que si on ne fait plus rentrer d’argent dans la caisse de Danone, il faudra qu’il diminue sa production. Et il aura besoin de mois de personnel, donc devra licencier d’autres personnes : et ce sera encore plus grave et de notre faute" => Danone est une entreprise florissante, faisant des bénéfices, et surtout avec une bonne trésorerie. De plus, le plan social que ce groupe s’apprétait à mettre en place a certainement déjà été provisionné : autrement dit, le coût des licenciements/fermetures d’usine est surement déjà inscrit dans leur comptabilité, et cela avant même qu’ils aient eu lieu ! Moralité, Danone n’est pas un groupe "aux portes de la mort", comme a contrario le secteur des startups en ce moment, et dans ce cas des licenciements massifs ne sont pas vraiment à prévoir, même après une chute des ventes (et pour parler de celles-ci, il serait intéressant de connaître le %age de C.A. perdu avant de crier au loup, ou à la victoire !).
"Ce que je veut dire, c’est que tout le monde a, à mon avis, de bonnes raisons pour licencier ; grosses et petites entreprises, et entreprises à forts ou moins forts rendements" => peut-être mais ce n’est pas de la faute des ouvriers de Lu si leurs produits ne sont pas vendus... Cette joli société qu’est Danone devrait améliorer ses parts de marché, puisque les usines qui devraient être fermées (en France et ailleurs) ne tournaient déjà plus à 100 % de leurs capacités de production : le fiston Riboud, il devrait peut-être s’inquiéter un peu de sa batterie de commerciaux, parce que quand la force de vente ne suit pas les ratios de productivité, c’est qu’on a fait une erreur de stratégie commerciale, n’est ce pas !
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