"Je me présente, Private Joker,
Amuseur du Roi, de la Reine, et de tous leurs faquins,
J’adore prendre un ton moqueur,
Pour railler les bassesses de cette Cour de vauriens :
Ici ou ailleurs, virtuel ou réel,
Ce monde chaque jour se meurt, la peur au creux des reins."
Pas grave : le Net, on y trouve plus ce qu’on y apporte que ce qu’on est venu y chercher, un peu comme dans une fête. Des fois, on a pourtant droit à une surprise, bonne ou mauvaise : le Net, c’est la vie quuoooiiii !
Sinon (et justement), OK pour le nul "besoin de censure dans une société ouverte à la critique", mais mon propos était de savoir différencier les oeuvres de leurs auteurs : on a assez vu des experts ès-art dire "Attention, ne vous intéressez pas à ce qu’a créé Alias CAR c’était un immonde salaud dans la vraie vie" pour après, comme ça ne marchait pas forcément, remettre le couvert avec "Ce Alias, bof au niveau artistique ça ne vaut rien, EN PLUS ce fut un sale con". D’abord tenter de censurer l’artiste à cause de sa vie, puis ensuite critiquer négativement son oeuvre : la forme change, mais c’est toujours du terrorisme intellectuel.
Ensuite, pour une amélioration de notre société qui irait dans ton sens (sans censure et avec la critique comme seul outil), cela suppose une liberté d’expression totale (au niveau légal mais aussi au niveau moyens) qui engendrera nombres de débats argumentés, ceux-ci vont donc nécessiter un sens critique extrêmement développé. Le problème c’est que celui-ci s’acquiert dès l’enfance et par l’exemple : il faudra alors que dès le plus jeune âge, ton environnement (parents, école, médias ...) te guide en te disant "ça c’est vrai même si ça a l’apparence du faux, ça c’est faux même si ça a l’apparence du vrai". Et là, j’ai bien peur qu’on utilise un petit peu la censure, par le simple fait que tous les avis ne se valent pas...
La prochaine fois que tu dégustes un bon Bordeaux, trinque à ma santé, ça porte bonheur.
Bonjour, monsieur Du Corbeau.
"Je me présente, Private Joker,
Amuseur du Roi, de la Reine, et de tous leurs faquins,
J’adore prendre un ton moqueur,
Pour railler les bassesses de cette Cour de vauriens :
Ici ou ailleurs, virtuel ou réel,
Ce monde chaque jour se meurt, la peur au creux des reins."
...Pas de site perso non plus pour mes chevilles gonflées, j’ajoute déjà assez de ma petite contribution à notre chère société du spectacle (© IS) en faisant le beau sur les forums.
Pas grave : le Net, on y trouve plus ce qu’on y apporte que ce qu’on est venu y chercher, un peu comme dans une fête. Des fois, on a pourtant droit à une surprise, bonne ou mauvaise : le Net, c’est la vie quuoooiiii !
Sinon (et justement), OK pour le nul "besoin de censure dans une société ouverte à la critique", mais mon propos était de savoir différencier les oeuvres de leurs auteurs : on a assez vu des experts ès-art dire "Attention, ne vous intéressez pas à ce qu’a créé Alias CAR c’était un immonde salaud dans la vraie vie" pour après, comme ça ne marchait pas forcément, remettre le couvert avec "Ce Alias, bof au niveau artistique ça ne vaut rien, EN PLUS ce fut un sale con". D’abord tenter de censurer l’artiste à cause de sa vie, puis ensuite critiquer négativement son oeuvre : la forme change, mais c’est toujours du terrorisme intellectuel.
Ensuite, pour une amélioration de notre société qui irait dans ton sens (sans censure et avec la critique comme seul outil), cela suppose une liberté d’expression totale (au niveau légal mais aussi au niveau moyens) qui engendrera nombres de débats argumentés, ceux-ci vont donc nécessiter un sens critique extrêmement développé. Le problème c’est que celui-ci s’acquiert dès l’enfance et par l’exemple : il faudra alors que dès le plus jeune âge, ton environnement (parents, école, médias ...) te guide en te disant "ça c’est vrai même si ça a l’apparence du faux, ça c’est faux même si ça a l’apparence du vrai". Et là, j’ai bien peur qu’on utilise un petit peu la censure, par le simple fait que tous les avis ne se valent pas...
La prochaine fois que tu dégustes un bon Bordeaux, trinque à ma santé, ça porte bonheur.
Au plaisir.