D’après ce que j’ai compris, le principal problème semble etre le mode de redistribution, opaque et contre créatif car favorisant des stars déja richissimes.
Alors, pourquoi ne pas proposer un mode de redistribution des taxes plus dynamique, et favorisant les nouveaux créateurs et la diversité :
Par exemple sous la forme de subventions sur les concerts : pour 100 F de subventions ; au lieu de payer 150 balles une place, on la payerait 80 et l’organisation du concert en toucherait 180.
Rendre la musque live "rentable" et plafonner les montants me semble une meilleure manière de dynamiser la créativité artistique que de protéger un droit d’auteur qui bénéficie surtout aux "gros".
Résultat : plus de public, et un gain par place supérieur.
Les artistes gagneraient leur vie avec le live (qui visiblement est peu rentable pour l’instant), autant qu’avec les ventes de disques.
Au lieu d’avoir de gros artistes ventrus qui font un disque tous les deux ans et attendent dans leur canapé que les pépettes générées par les pubs de leur major arrivent sur leur compte en banque, on aurait de beaux artistes qui communiquent, rencontrent leur public, et s’expriment...
D’après ce que j’ai compris, le principal problème semble etre le mode de redistribution, opaque et contre créatif car favorisant des stars déja richissimes.
Alors, pourquoi ne pas proposer un mode de redistribution des taxes plus dynamique, et favorisant les nouveaux créateurs et la diversité :
Par exemple sous la forme de subventions sur les concerts : pour 100 F de subventions ; au lieu de payer 150 balles une place, on la payerait 80 et l’organisation du concert en toucherait 180.
Rendre la musque live "rentable" et plafonner les montants me semble une meilleure manière de dynamiser la créativité artistique que de protéger un droit d’auteur qui bénéficie surtout aux "gros".
Résultat : plus de public, et un gain par place supérieur.
Les artistes gagneraient leur vie avec le live (qui visiblement est peu rentable pour l’instant), autant qu’avec les ventes de disques.
Au lieu d’avoir de gros artistes ventrus qui font un disque tous les deux ans et attendent dans leur canapé que les pépettes générées par les pubs de leur major arrivent sur leur compte en banque, on aurait de beaux artistes qui communiquent, rencontrent leur public, et s’expriment...