Tiens c’est marrant, dans les forums de "l’article d’à coté", celui de Vykinge, ils ont aussi remarqués que les forums c’est le bistrot.
Mais les participants se servent plutôt de ce parralèle pour s’invectiver ("ce que tu dis est du niveau d’une conversation de bistrot").
Un autre participant aime bien l’idée d’un bistrot mondial par contre.
Il dit ça :
"Un bon exemple du non-neuf d’internet : permettre sur le réseau mondial des conversations de bistrot.
On va mettre les choses au point tout de suite : Internet n’est pas une révolution conceptuelle (comme le dit Laurent, à exprimer avec la bouche en cul de poule), mais un outil.
Les conversations de bistrot, ça existe depuis longtemps, ce qui change, c’est leur déroulement, leur contexte : essaie donc d’avoir une conversation de bistrot avec un néo-zélandais, un américain, un chinois, etc. chacun étant dans sa ville, chez lui tranquillement. Ca ne rajoute pas de concept nouveau, ça modifie des modes de fonctionnement"
Moi, ça m’plait bien que le "niveau" soit pas toujours à 3000. Un "niveau" obligatoire qui crève en permanence le plafond, (sur le plan de la pertinence du propos, de l’errudition, du style, de la forme...) ça veut dire une forme de sélection, donc une forme de censure (sociale, culturelle....).
Et alors, comment ne pas tomber dans l’élitisme ??
Par contre, ce que je ne supportes pas dans les forums, ce sont les injures, les attaques personnelles, les caricatures du propos...
Pour donner un exemple, dans ce forum un intervenant remarque :
... Remarquez, du sang à la Une chez uZine, ça ne change pas trop, cela devient courant depuis quelques semaines : du coup, le plus intéressant (...) se passe et se dit en bas de page.
Il semble que le climat se dégrade un peu, mais cet auteur s’en réjouit plutot.
Je ne partage pas son intérêt pour le sang en bas de page.
Par exemple, l’utilisation dans le même forum (un peu plus bas) de l’expression "sans rancune" à deux reprises par un dénommé Marcel est d’un effet des plus désagréables. Pour moi, soit on tappe sur la tête de son interlocuteur et on assume, soit on reste correct. Là, c’est comme si Marcel avait conscience d’être allé trop loin, d’avoir tiré un peu bas, et n’assumait pas vraiment ?
Pourtant, Marcel, c’est pas tout à fait comme au bistrot, on risque pas de se prendre une claque derrière les oreilles dans le monde virtuel...
Tiens c’est marrant, dans les forums de "l’article d’à coté", celui de Vykinge, ils ont aussi remarqués que les forums c’est le bistrot.
Mais les participants se servent plutôt de ce parralèle pour s’invectiver ("ce que tu dis est du niveau d’une conversation de bistrot").
Un autre participant aime bien l’idée d’un bistrot mondial par contre.
Il dit ça :
"Un bon exemple du non-neuf d’internet : permettre sur le réseau mondial des conversations de bistrot.
On va mettre les choses au point tout de suite : Internet n’est pas une révolution conceptuelle (comme le dit Laurent, à exprimer avec la bouche en cul de poule), mais un outil.
Les conversations de bistrot, ça existe depuis longtemps, ce qui change, c’est leur déroulement, leur contexte : essaie donc d’avoir une conversation de bistrot avec un néo-zélandais, un américain, un chinois, etc. chacun étant dans sa ville, chez lui tranquillement. Ca ne rajoute pas de concept nouveau, ça modifie des modes de fonctionnement"
Moi, ça m’plait bien que le "niveau" soit pas toujours à 3000. Un "niveau" obligatoire qui crève en permanence le plafond, (sur le plan de la pertinence du propos, de l’errudition, du style, de la forme...) ça veut dire une forme de sélection, donc une forme de censure (sociale, culturelle....).
Et alors, comment ne pas tomber dans l’élitisme ??
Par contre, ce que je ne supportes pas dans les forums, ce sont les injures, les attaques personnelles, les caricatures du propos...
Pour donner un exemple, dans ce forum un intervenant remarque :
... Remarquez, du sang à la Une chez uZine, ça ne change pas trop, cela devient courant depuis quelques semaines : du coup, le plus intéressant (...) se passe et se dit en bas de page.
Il semble que le climat se dégrade un peu, mais cet auteur s’en réjouit plutot.
Je ne partage pas son intérêt pour le sang en bas de page.
Par exemple, l’utilisation dans le même forum (un peu plus bas) de l’expression "sans rancune" à deux reprises par un dénommé Marcel est d’un effet des plus désagréables. Pour moi, soit on tappe sur la tête de son interlocuteur et on assume, soit on reste correct. Là, c’est comme si Marcel avait conscience d’être allé trop loin, d’avoir tiré un peu bas, et n’assumait pas vraiment ?
Pourtant, Marcel, c’est pas tout à fait comme au bistrot, on risque pas de se prendre une claque derrière les oreilles dans le monde virtuel...
Voir en ligne : Le forum de l’article d’à coté