Bonjour,
Je ne vois pas bien où vous voulez en venir.
Est-ce que le fait qu’il y avait 40 Africains dans votre promotion est un signe qu’il y en a bien assez qui sont formés pour ce métier ? Je ne crois pas en avoir vu beaucoup dans la presse nationale précisément parce que ces jeunes gens se destinaient au marché africain, non ?(et c’est tant mieux pour la qualité de la presse là bas )
Si votre propos est de dire qu’il y a largement assez d’Africains (du Nord comme d’Afrique subsaharienne) ou d’origine africaine dans notre métier, là, je ne peux y souscrire. Ou alors, je les ai manqués !
Je partage à 200% votre découverte du métier par une conférence donnée dans un lycée par un journaleux. C’est EXACTEMENT là qu’il faut aller agir et c’est à cela que j’appelle très explicitement dans mon article. Pour ma part, je vais retourner dans mon lycée pour aller y faire une petite conférence afin d’expliquer mon job à des lycéens. Et leur dire, nom de Dieu, d’entrer dans des écoles de journalisme, parce que ce sera le seul moyen pour eux de rentrer dans ce boulot pourri par les pistonnés !
Et j’incite tous les journalistes à faire de même : retournez dans vos lycées surtout s’ils étaient modestes et expliquez votre job.
Bonjour,
Je ne vois pas bien où vous voulez en venir.
Est-ce que le fait qu’il y avait 40 Africains dans votre promotion est un signe qu’il y en a bien assez qui sont formés pour ce métier ? Je ne crois pas en avoir vu beaucoup dans la presse nationale précisément parce que ces jeunes gens se destinaient au marché africain, non ?(et c’est tant mieux pour la qualité de la presse là bas )
Si votre propos est de dire qu’il y a largement assez d’Africains (du Nord comme d’Afrique subsaharienne) ou d’origine africaine dans notre métier, là, je ne peux y souscrire. Ou alors, je les ai manqués !
Je partage à 200% votre découverte du métier par une conférence donnée dans un lycée par un journaleux. C’est EXACTEMENT là qu’il faut aller agir et c’est à cela que j’appelle très explicitement dans mon article. Pour ma part, je vais retourner dans mon lycée pour aller y faire une petite conférence afin d’expliquer mon job à des lycéens. Et leur dire, nom de Dieu, d’entrer dans des écoles de journalisme, parce que ce sera le seul moyen pour eux de rentrer dans ce boulot pourri par les pistonnés !
Et j’incite tous les journalistes à faire de même : retournez dans vos lycées surtout s’ils étaient modestes et expliquez votre job.
A