Il y a du vrai dans ce papier.
Il y a aussi du faux ; ou du "à peu près", on dirait … du journalisme !
Deux exemples perso :
— J’ai fait l’Ecole supérieure de journalisme de Lille. Dans ma promo (40 élèves), il y avait une dizaine d’Africains. Venus d’Afrique, ils y sont aujourd’hui ministres ou prisonniers, quelquefois même journalistes !
— D’un milieu modeste et provincial, je n’aurais peut-être jamais pensé faire ce métier tout seul, et encore moins une école, et encore moins cette école-là. Ma "mise sur la voie" vient d’une conférence, au collège, pour les classes de terminales, par un jeune ancien de ce collège et de cette école (de journalisme). C’était il y a presque quarante ans (j’en ai 56) … Et nous sommes quatre de cette classe de philo à avoir fait l’école de Lille et à être devenus journalistes.
Maintenant, c’est vrai qu’il y a, et du piston, et des fils d’archevêques dans notre profession. Mais pas seulement.
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Il y a du vrai dans ce papier.
Il y a aussi du faux ; ou du "à peu près", on dirait … du journalisme !
Deux exemples perso :
— J’ai fait l’Ecole supérieure de journalisme de Lille. Dans ma promo (40 élèves), il y avait une dizaine d’Africains. Venus d’Afrique, ils y sont aujourd’hui ministres ou prisonniers, quelquefois même journalistes !
— D’un milieu modeste et provincial, je n’aurais peut-être jamais pensé faire ce métier tout seul, et encore moins une école, et encore moins cette école-là. Ma "mise sur la voie" vient d’une conférence, au collège, pour les classes de terminales, par un jeune ancien de ce collège et de cette école (de journalisme). C’était il y a presque quarante ans (j’en ai 56) … Et nous sommes quatre de cette classe de philo à avoir fait l’école de Lille et à être devenus journalistes.
Maintenant, c’est vrai qu’il y a, et du piston, et des fils d’archevêques dans notre profession. Mais pas seulement.
Cordialement.
Bernard Langlois