Bonjour Arnaud !
J’ai trouvé ton article super intéressant et informatif (c’est aussi ça être journaliste, non ?).
Je suis assistante dans un canard régional depuis quelques mois et je touche de près mon rêve depuis mes... 12 ans (j’en ai 27 aujourd’hui même !).
J’ai la chance de travailler avec des journalistes qui viennent tous d’horizons très différents : autodidactes, universitaires et ceux sortant d’écoles. L’avantage en PQR, d’après leurs dires, c’est que, si jamais tu as un tantinet la grosse tête, on t’apprend vite à redescendre (bon, OK, certains ont un ego surdimensionné et ça ne marche pas tout le temps mais quand même...). En fait, chacun, par son expérience, son vécu, apporte aux autres. Il y a des fous rires, des grosses engueulades, mais on a toujours l’impression d’avancer tant professionnellement qu’humainenemt. Crois-moi, pour avoir travaillé dans des domaines diamétralement opposés, c’est rare.
J’ai toujours voulu être journaliste mais, à l’époque où j’ai passé mon bac, on me disait : licence et école et c’est tout. Alors, gentimment, j’ai passé un DEUG de Lettres et, parce que je suis d’un milieu modeste et que financer une école était impossible, j’ai tout arrêté et paf, un BTS... Et aujourd’hui, j’ai encore ce désir et me demande si, finalement, je ne vais pas tenter le coup... de quelle façon, ça, je ne sais pas encore...
En tout cas, pour en revenir à ton papier, je pense que les autodidactes sont moins nombreux et que les médias sont moins enclins à leur ouvrir leurs portes alors que les universitaires ont autant leur place que ceux venant des écoles. Ca repousse un peu plus la sélection, non ?...
A bientôt !
Bonjour Arnaud !
J’ai trouvé ton article super intéressant et informatif (c’est aussi ça être journaliste, non ?).
Je suis assistante dans un canard régional depuis quelques mois et je touche de près mon rêve depuis mes... 12 ans (j’en ai 27 aujourd’hui même !).
J’ai la chance de travailler avec des journalistes qui viennent tous d’horizons très différents : autodidactes, universitaires et ceux sortant d’écoles. L’avantage en PQR, d’après leurs dires, c’est que, si jamais tu as un tantinet la grosse tête, on t’apprend vite à redescendre (bon, OK, certains ont un ego surdimensionné et ça ne marche pas tout le temps mais quand même...). En fait, chacun, par son expérience, son vécu, apporte aux autres. Il y a des fous rires, des grosses engueulades, mais on a toujours l’impression d’avancer tant professionnellement qu’humainenemt. Crois-moi, pour avoir travaillé dans des domaines diamétralement opposés, c’est rare.
J’ai toujours voulu être journaliste mais, à l’époque où j’ai passé mon bac, on me disait : licence et école et c’est tout. Alors, gentimment, j’ai passé un DEUG de Lettres et, parce que je suis d’un milieu modeste et que financer une école était impossible, j’ai tout arrêté et paf, un BTS... Et aujourd’hui, j’ai encore ce désir et me demande si, finalement, je ne vais pas tenter le coup... de quelle façon, ça, je ne sais pas encore...
En tout cas, pour en revenir à ton papier, je pense que les autodidactes sont moins nombreux et que les médias sont moins enclins à leur ouvrir leurs portes alors que les universitaires ont autant leur place que ceux venant des écoles. Ca repousse un peu plus la sélection, non ?...
A bientôt !