> Ecoles de journalisme : prêt-à-penser ou prêts à penser ?
13 juin 2003, 00:54, par ayoros
Je reviens du concours d’entrée de l’ESJ Paris ou je me suis royalement...planté.J’en suis sorti fou de rage en criant au diable le journalisme.Puis,passé la déception,je me suis convaincu tant bien que mal que je réessaierais aussi longtemps qu’il le faudra(plus facile à dire qu’à faire).Ceci pour dire qu’il ne faut pas arrêter devant l’obstacle,car même si vous m’avez l’air très forte de caractère(au bon sens du terme),le fait même d’écrire suggère que vous perdez plus ou moins confiance(foutu monde de m.... et d’injustice à la c..).A travers mon désarroi de celui qui a perdu 2 années de sa jeunesse à bosser pour rien,je tiens à vous dire qu’il ne faut pas baisser les bras.Jamais.Car à force de prendre des claques dans la gueule(pardonnez ma grossièreté,mais mes nerfs sont à vif),je reste persuadé que la chance finit par se présenter un jour.Je souhaite de tout coeur que vous serez à même de la saisir à temps.
Voilà,ma réponse est certainement confuse et inappropriée,je m’en excuse d’ailleurs ;mais il me paraissait essentiel d’encourager les trop rares personnes comme vous qui défendent la véritable valeur du journalisme(association de quartier dont le but est de concevoir un journal,c’est remarquable).Peut-être une manière de me motiver moi-même après cet échec qui m’a enfoncé plus bas que terre.
Sur ce,bon courage et bonne chance pour la suite...
Je reviens du concours d’entrée de l’ESJ Paris ou je me suis royalement...planté.J’en suis sorti fou de rage en criant au diable le journalisme.Puis,passé la déception,je me suis convaincu tant bien que mal que je réessaierais aussi longtemps qu’il le faudra(plus facile à dire qu’à faire).Ceci pour dire qu’il ne faut pas arrêter devant l’obstacle,car même si vous m’avez l’air très forte de caractère(au bon sens du terme),le fait même d’écrire suggère que vous perdez plus ou moins confiance(foutu monde de m.... et d’injustice à la c..).A travers mon désarroi de celui qui a perdu 2 années de sa jeunesse à bosser pour rien,je tiens à vous dire qu’il ne faut pas baisser les bras.Jamais.Car à force de prendre des claques dans la gueule(pardonnez ma grossièreté,mais mes nerfs sont à vif),je reste persuadé que la chance finit par se présenter un jour.Je souhaite de tout coeur que vous serez à même de la saisir à temps.
Voilà,ma réponse est certainement confuse et inappropriée,je m’en excuse d’ailleurs ;mais il me paraissait essentiel d’encourager les trop rares personnes comme vous qui défendent la véritable valeur du journalisme(association de quartier dont le but est de concevoir un journal,c’est remarquable).Peut-être une manière de me motiver moi-même après cet échec qui m’a enfoncé plus bas que terre.
Sur ce,bon courage et bonne chance pour la suite...