J’ai du mal à en croire mes yeux. Comme tout le monde, ici, je ne suis pas vraiment tombée sur cette article par hasard ; et comme beaucoup, j’aspire à être journaliste. Alors comme ça, pour avoir des chances de réussir dans ce métier (enfin, j’veux dire, de réussir les concours, ce qui semble être pourM. ou Mme Effaré, une fin en soi), il faut s’y prendre au berceau, commencer en cm1 à préparer ses réponses pour l’oral des écoles et surtout cultiver un style d’écriture adéquat et suceptible de convenir à un ou une péteux (se) qui n’a même pas une licence de LEA ?
Et ben, jolie vision de la vie, n’est-ce pas. Quel mépris franchement ! Tu crois sûrement avoir beaucoup évolué depuis ton année de troisième...mais suis-je bête : à cet âge là, tu étais déjà abbonné(e) depuis longtemps au Monde diplomatique !
Je suis, pour ma part et à cette heure, en attente des résultats des écrits des concours. J’ai derrière moi une maîtrise d’histoire et seulement (pardon !) 4 ou 5 ans de reflexion sur le métier de journaliste. Suis-je pour autant destinée à me planter ? Pas plus que les autres, je crois, pas moins non plus. Je ne sais pas s’il est bon ou non de passer par une école et me contente de faire deux constats : ces écoles forment aux techniques rédactionnelles (au moins) et permettent de trouver un travail plus rapidement. Si j’échoue, je trouverais un autre chemin pour faire ce métier.
Il est vrai que dans les salles de concours, tous les étudiants se ressemblent : même style vestimentaire, même couleur de peau qui souvent traduisent une même origine sociale. Je ne jette pas la pierre à ce gens : j’en fais partie. Je regrette juste que les écoles pratiquent de tels tarifs et et que, par ailleurs, elles montent souvent la tête à leurs étudiants. C’est tout ce que j’ai à dire. Si la loterie me désigne d’ici quelques jours, j’aurais sans doute plus de choses à vous dire.
Avant de finir, je tenais à encourage la personne qui est en 3° et qui souhaite être journaliste à rester avant tout elle même et à ne surtout pas écouter ceux qui tenteraient de la décourager. Biensûr, il faut être curieux de tout, être à l’écoute de l’info, chercher les contradictions, mais tout cela sera sans doute bien plus aisé après une ou deux années d’études supérieures, quand elle aura plus d’élements en mains. Sur ce bonne chance à tous et notammant à ceux qui, comme moi, attendent fébrilement le verdict !
J’ai du mal à en croire mes yeux. Comme tout le monde, ici, je ne suis pas vraiment tombée sur cette article par hasard ; et comme beaucoup, j’aspire à être journaliste. Alors comme ça, pour avoir des chances de réussir dans ce métier (enfin, j’veux dire, de réussir les concours, ce qui semble être pourM. ou Mme Effaré, une fin en soi), il faut s’y prendre au berceau, commencer en cm1 à préparer ses réponses pour l’oral des écoles et surtout cultiver un style d’écriture adéquat et suceptible de convenir à un ou une péteux (se) qui n’a même pas une licence de LEA ?
Et ben, jolie vision de la vie, n’est-ce pas. Quel mépris franchement ! Tu crois sûrement avoir beaucoup évolué depuis ton année de troisième...mais suis-je bête : à cet âge là, tu étais déjà abbonné(e) depuis longtemps au Monde diplomatique !
Je suis, pour ma part et à cette heure, en attente des résultats des écrits des concours. J’ai derrière moi une maîtrise d’histoire et seulement (pardon !) 4 ou 5 ans de reflexion sur le métier de journaliste. Suis-je pour autant destinée à me planter ? Pas plus que les autres, je crois, pas moins non plus. Je ne sais pas s’il est bon ou non de passer par une école et me contente de faire deux constats : ces écoles forment aux techniques rédactionnelles (au moins) et permettent de trouver un travail plus rapidement. Si j’échoue, je trouverais un autre chemin pour faire ce métier.
Il est vrai que dans les salles de concours, tous les étudiants se ressemblent : même style vestimentaire, même couleur de peau qui souvent traduisent une même origine sociale. Je ne jette pas la pierre à ce gens : j’en fais partie. Je regrette juste que les écoles pratiquent de tels tarifs et et que, par ailleurs, elles montent souvent la tête à leurs étudiants. C’est tout ce que j’ai à dire. Si la loterie me désigne d’ici quelques jours, j’aurais sans doute plus de choses à vous dire.
Avant de finir, je tenais à encourage la personne qui est en 3° et qui souhaite être journaliste à rester avant tout elle même et à ne surtout pas écouter ceux qui tenteraient de la décourager. Biensûr, il faut être curieux de tout, être à l’écoute de l’info, chercher les contradictions, mais tout cela sera sans doute bien plus aisé après une ou deux années d’études supérieures, quand elle aura plus d’élements en mains. Sur ce bonne chance à tous et notammant à ceux qui, comme moi, attendent fébrilement le verdict !