Bonjour, depuis peu je connais "le portail des copains" non pas par une recherche sur le web, mais grâce à une rencontre bien réelle avec un utilisateur dans le train paris-montpellier. On débat des journaux papiers que nous avons chacun en notre possession puis du web.
La question de l’utilité du web, et du degré de liberté que ce média permet nous a déjà beaucoup fait débattre dans des groupes militants. Ayant lu plusieurs articles de Serge Alimi "monde diplo", je pensais avant mon premier surf, que comme ça arrive souvent la réalité décrite par les uns et les autres était une extrapolation légère de la réalité.
Malheureusement mes premiers pas, premières vagues, m’ont extrèmement déçu et j’ai failli jeter le modem aux orties. je ne l’ai pas fait à l’époque pour pouvoir accéder dans le temps aux sites des grosses assos ou orga (attac, conf paysane,...) comme à la presse.
Mais pour le reste je pestais contre toutes les balises publicitaires, qui ralentissent la connexion, polluent mon écran et m’envoyaient d’un clic maladroit vers des sites non demandés.
Autant dire que la liberté sur le web et les grands discours me faisaient monter au créneau. Surtout l’an dernier lorsque liberty surf a repris la thématique révolutionnaire, suivi par d’autres dont les noms m’échappent. La révolution virtuelle j’en ai rien à foutre, et beaucoup confondent l’outil net avec la lutte réelle bien des révolutionnaires au petit clavier ne se rendent pas compte que leur révolution ne gène personne même pas les publicitaires et leurs commanditaires.
Ce qui me fait venir à ma question, concernant la viabilité d’un web indépendant, ou de résistance. Si les sites malgré ls contrôles et les procés peuvent continuer à exister. Quand est-il du problème des provideurs qui contôlent l’accés. malheureus utilisateur d’aol depuis 3 mois, je me dis que dans le cyber monde techno futurocon, il est encore plus difficile de faire respecter ses droits (tout conseil pour faire ch..aol sont bien venus) que dans le monde physique. Lorsque j’utilise napster et que l’on m’explique les restructurations et les abonnements qui arrivent etc...Je me réfère à la première révolution industrielle où les employeurs récupéraient les innovations des ouvriers et les dépossédaient des plus value. la créativité confisquée par l’argent. je trouve que nous sommes dans une situation similaire où après une pèriode un peu chaotique nécessaire -la créativité éclos dans la liberté- le monde du fric se restructure, bouffe ceux de chez eux qui sont plus petits et achètent ou musèlent les indépendants.
Je ne sais pas coment va se poser dans le cyber monde la lutte autour de l’outil de prodcution et l’état des réflexions. Au vu des investissements peut-on penser un fournisseur d’accès indépendant ? Peut-on craindre qu’à l’image de ce qui se passe avec napster les sites qui atirent le plus des internautes -ils permettent de détourner le passage en caisse- deviendront payant ? Que les autoroutes du web seront comme celles qui traversent l’hexagone "bienvenue au péage" ? si la moindre production s’échange contre monnaie nous trouverons rapidement pleins de jouisseurs cyber d’aujourd’hui prets à nous vendre leur moinre animation.
Voici en vrac les doutes et les questions qui m’animent. J’imagine que d’autres avant moi y ont réfléchi merci de me faire connaître les articles précédents. Question subsidiaire quels sont les meilleurs sites qui permettent de faire passer les infos de la lutte du monde réel. Je veux dire que pour mobiliser par le net mais hors du net aussi mon patron n’est pas connecté, où écris-je ?
Bonjour, depuis peu je connais "le portail des copains" non pas par une recherche sur le web, mais grâce à une rencontre bien réelle avec un utilisateur dans le train paris-montpellier. On débat des journaux papiers que nous avons chacun en notre possession puis du web.
La question de l’utilité du web, et du degré de liberté que ce média permet nous a déjà beaucoup fait débattre dans des groupes militants. Ayant lu plusieurs articles de Serge Alimi "monde diplo", je pensais avant mon premier surf, que comme ça arrive souvent la réalité décrite par les uns et les autres était une extrapolation légère de la réalité.
Malheureusement mes premiers pas, premières vagues, m’ont extrèmement déçu et j’ai failli jeter le modem aux orties. je ne l’ai pas fait à l’époque pour pouvoir accéder dans le temps aux sites des grosses assos ou orga (attac, conf paysane,...) comme à la presse.
Mais pour le reste je pestais contre toutes les balises publicitaires, qui ralentissent la connexion, polluent mon écran et m’envoyaient d’un clic maladroit vers des sites non demandés.
Autant dire que la liberté sur le web et les grands discours me faisaient monter au créneau. Surtout l’an dernier lorsque liberty surf a repris la thématique révolutionnaire, suivi par d’autres dont les noms m’échappent. La révolution virtuelle j’en ai rien à foutre, et beaucoup confondent l’outil net avec la lutte réelle bien des révolutionnaires au petit clavier ne se rendent pas compte que leur révolution ne gène personne même pas les publicitaires et leurs commanditaires.
Ce qui me fait venir à ma question, concernant la viabilité d’un web indépendant, ou de résistance. Si les sites malgré ls contrôles et les procés peuvent continuer à exister. Quand est-il du problème des provideurs qui contôlent l’accés. malheureus utilisateur d’aol depuis 3 mois, je me dis que dans le cyber monde techno futurocon, il est encore plus difficile de faire respecter ses droits (tout conseil pour faire ch..aol sont bien venus) que dans le monde physique. Lorsque j’utilise napster et que l’on m’explique les restructurations et les abonnements qui arrivent etc...Je me réfère à la première révolution industrielle où les employeurs récupéraient les innovations des ouvriers et les dépossédaient des plus value. la créativité confisquée par l’argent. je trouve que nous sommes dans une situation similaire où après une pèriode un peu chaotique nécessaire -la créativité éclos dans la liberté- le monde du fric se restructure, bouffe ceux de chez eux qui sont plus petits et achètent ou musèlent les indépendants.
Je ne sais pas coment va se poser dans le cyber monde la lutte autour de l’outil de prodcution et l’état des réflexions. Au vu des investissements peut-on penser un fournisseur d’accès indépendant ? Peut-on craindre qu’à l’image de ce qui se passe avec napster les sites qui atirent le plus des internautes -ils permettent de détourner le passage en caisse- deviendront payant ? Que les autoroutes du web seront comme celles qui traversent l’hexagone "bienvenue au péage" ? si la moindre production s’échange contre monnaie nous trouverons rapidement pleins de jouisseurs cyber d’aujourd’hui prets à nous vendre leur moinre animation.
Voici en vrac les doutes et les questions qui m’animent. J’imagine que d’autres avant moi y ont réfléchi merci de me faire connaître les articles précédents. Question subsidiaire quels sont les meilleurs sites qui permettent de faire passer les infos de la lutte du monde réel. Je veux dire que pour mobiliser par le net mais hors du net aussi mon patron n’est pas connecté, où écris-je ?
un salut résistant.
Voir en ligne : Le web indépendant joue dans la cour des grands