Ah ! Je suis content, j’avais oublié le titre de la chanson que nous chantions, le Famas sur le coeur. Ainsi, ils proviennent donc de cette chère division Charlemagne. Chez nous, c’était "Foulant la boue sombre, passent les bérêts noirs" (ils étaient bleu marine, mais passons). J’avais trouvé marrant qu’on entonne, plein d’entrain "la rue appartient à celui qui y descend". Je lui trouvais des relents soixante-huitards à cette phrase. Bon, après, ça se gâte, avec la suivante : "la rue appartient à [je ne sais plus trop quoi] de nos commandos". Le répit ne dure que le temps d’une phrase.
Finalement, d’un côté ou de l’autre d’une frontière, le kaki reste le kaki. Et Internet n’y change pas grand chose.
Ah ! Je suis content, j’avais oublié le titre de la chanson que nous chantions, le Famas sur le coeur. Ainsi, ils proviennent donc de cette chère division Charlemagne. Chez nous, c’était "Foulant la boue sombre, passent les bérêts noirs" (ils étaient bleu marine, mais passons). J’avais trouvé marrant qu’on entonne, plein d’entrain "la rue appartient à celui qui y descend". Je lui trouvais des relents soixante-huitards à cette phrase. Bon, après, ça se gâte, avec la suivante : "la rue appartient à [je ne sais plus trop quoi] de nos commandos". Le répit ne dure que le temps d’une phrase.
Finalement, d’un côté ou de l’autre d’une frontière, le kaki reste le kaki. Et Internet n’y change pas grand chose.