Une des grandes avancées du consensus mou est d’avoir réussi à faire admettre que la politique était un vice grave et au mieux une maladie incurable. Le comportement des professionnels de la chose (Madelin, Voynet, Chispin, Jorac...) contribue à répandre la croyance en l’inutilité du politique.
Si on regarde l’histoire, la plupart des avancées importantes ont été obtenues suite à des combats qu’on ne peut qualifier autrement que de politiques. Si je parle de "l’hypothétique Karl Marx de l’ère internet", c’est pour dire qu’à mon avis nous ne sommes pas près de voir émerger une nouvelle théorie "globale" expliquant tout sur l’organisation de notre monde. Et c’est probablement mieux comme ça, essayer d’atteindre de grands et lointains horizons fait souvent oublier les actions immédiates et efficaces.
Pour résumer ce qui a changé dans la politque, avant (à l’époque des "idéologies lourdes"), les actions concrètes étaient liées à la poursuite d’un objectif suprême, alors qu’aujourd’hui on essaie d’atteindre un objectif proche et concret, le tableau d’ensemble étant déterminé par la somme de ces actions.
Donc, comme voudraient nous le faire croire Messier et ses amis, la politique n’est pas une maladie. Les rapports de force actuels font que chaque recul du poitique crée un vide que les entreprises se font une joie de combler.
Une des grandes avancées du consensus mou est d’avoir réussi à faire admettre que la politique était un vice grave et au mieux une maladie incurable. Le comportement des professionnels de la chose (Madelin, Voynet, Chispin, Jorac...) contribue à répandre la croyance en l’inutilité du politique.
Si on regarde l’histoire, la plupart des avancées importantes ont été obtenues suite à des combats qu’on ne peut qualifier autrement que de politiques. Si je parle de "l’hypothétique Karl Marx de l’ère internet", c’est pour dire qu’à mon avis nous ne sommes pas près de voir émerger une nouvelle théorie "globale" expliquant tout sur l’organisation de notre monde. Et c’est probablement mieux comme ça, essayer d’atteindre de grands et lointains horizons fait souvent oublier les actions immédiates et efficaces.
Pour résumer ce qui a changé dans la politque, avant (à l’époque des "idéologies lourdes"), les actions concrètes étaient liées à la poursuite d’un objectif suprême, alors qu’aujourd’hui on essaie d’atteindre un objectif proche et concret, le tableau d’ensemble étant déterminé par la somme de ces actions.
Donc, comme voudraient nous le faire croire Messier et ses amis, la politique n’est pas une maladie. Les rapports de force actuels font que chaque recul du poitique crée un vide que les entreprises se font une joie de combler.