Si l’on est déjà capable d’assumer des frais minimums, que l’on veut se démarquer de la grande distribution mercantiliste, l’utiliser, aussi séduisante soit cette option, est :
- d’une part risqué légalement, tant pour le producteur légal du disque, que pour le distributeur qui distribue à son insu,
- d’autre part, un peu paradoxal ; tant qu’à vouloir faire de l’alternatif, pourquoi ne pas carrément utiliser l’espace public pour diffuser ses oeuvres, plutôt que d’encombrer les circuits classiques de distribution ?
Si l’on est déjà capable d’assumer des frais minimums, que l’on veut se démarquer de la grande distribution mercantiliste, l’utiliser, aussi séduisante soit cette option, est :
- d’une part risqué légalement, tant pour le producteur légal du disque, que pour le distributeur qui distribue à son insu,
- d’autre part, un peu paradoxal ; tant qu’à vouloir faire de l’alternatif, pourquoi ne pas carrément utiliser l’espace public pour diffuser ses oeuvres, plutôt que d’encombrer les circuits classiques de distribution ?