et puis, de nombreux musiciens gagnent plus leur vie dans les concerts que par les cd ;
de plus il est possible, distribuant sa musique sous licence libre, de la vendre à prix raisonnable, choisi soi-même, en récupérant un peu plus de 4% de ce prix de vente..
( voir pour info ceci : http://www.negativland.com/albini.html , sur la répartition dans le système des majors...)
dans 10 ans il y aura toujours des artistes, de nombreux musiciens graveront ou presseront eux-même leurs cd (sans passer par la sdrm : il suffit de demander à la seacem : insister, ils finiront par vous répondre que c’est possible, si si : nous avons eu confirmation par une juriste de la sacem ! ),
les vendront eux mêmes ou par des labels de musique libre, comme magnatune par ex. qui répartit ainsi le produit des ventes (merchandising y compris : 50 pour le label, 50 pour l’artiste : plus équitable, non ? ),
par contre, peut-être, oui, y aura-t-il moins de maisons de disques arrogantes, figées dans un immobilisme technologique, une attitude anti-concurentielle, et s’enfermant comme actuellement dans une suicidaire persécution juridique de ses clients...
note philologique :
libre ne veut pas dire gratuit : la confusion vient de l’anglais ’free’ ;
mais il est possible de vendre du libre : un produit sous licence libre par exemple :)
et puis, de nombreux musiciens gagnent plus leur vie dans les concerts que par les cd ;
de plus il est possible, distribuant sa musique sous licence libre, de la vendre à prix raisonnable, choisi soi-même, en récupérant un peu plus de 4% de ce prix de vente..
( voir pour info ceci : http://www.negativland.com/albini.html , sur la répartition dans le système des majors...)
dans 10 ans il y aura toujours des artistes, de nombreux musiciens graveront ou presseront eux-même leurs cd (sans passer par la sdrm : il suffit de demander à la seacem : insister, ils finiront par vous répondre que c’est possible, si si : nous avons eu confirmation par une juriste de la sacem ! ),
les vendront eux mêmes ou par des labels de musique libre, comme magnatune par ex. qui répartit ainsi le produit des ventes (merchandising y compris : 50 pour le label, 50 pour l’artiste : plus équitable, non ? ),
par contre, peut-être, oui, y aura-t-il moins de maisons de disques arrogantes, figées dans un immobilisme technologique, une attitude anti-concurentielle, et s’enfermant comme actuellement dans une suicidaire persécution juridique de ses clients...
note philologique :
libre ne veut pas dire gratuit : la confusion vient de l’anglais ’free’ ;
mais il est possible de vendre du libre : un produit sous licence libre par exemple :)
Voir en ligne : musique libre