Vous dites :
"<< Pour un auteur, une nouvelle possibilité peut désormais être envisagée : réaliser lui-même, pour un coût très faible, son propre document (intégrant la mise en page et la mise en ligne), le diffuser lui-même et le vendre. >>
Et le vendre ? Ben moi, j ?y crois pas beaucoup à cette révolution des nouveaux Biznessmen de l ?Information et de la Communication. "
et je ne suis pas tout à fait d’accord. La phrase initiale ne laissait-elle pas entendre la possibilité de vendre un bien matériel (un bouquin quoi) par l’intermédiaire d’Internet (qui fait alors office de moyen d’autopromotion), en addition au simple téléchargement. L’objection que vous soulevez devient alors nulle : on ne négocie plus quelque chose d’immatériel mais un livre (quoi de plus concret ?).
Pour ma part j’ai autoédité un livre, non pas dans le but de gagner ma vie avec, mais simplement parce que c’est le seul moyen que j’ai trouvé de rentrer justement en possesion de ce fameux bien matériel, gavé de ne voir mes textes que sur un scintillant écran d’ordinateur. Résultat : avec un tiers des ouvrages vendus, je suis rentré dans mes frais. Tout ceux qui suivront, ce sera de l’argent de poche. Pour mémoire, un tiers c’est environ 33%. Donc plus de 66% pour moi (loin des 10% d’un livre édité par un ’grand’). Après, c’est vrai que le tirage est beaucoup plus limité.
Voilà, c’étaient mes 2 centimes à moi aussi (qui ait eu une colle d’allemand sur un texte du Zeitung où Gates prédisait la fin du livre papier pour 2004 ;-).
Vous dites :
"<< Pour un auteur, une nouvelle possibilité peut désormais être envisagée : réaliser lui-même, pour un coût très faible, son propre document (intégrant la mise en page et la mise en ligne), le diffuser lui-même et le vendre. >>
Et le vendre ? Ben moi, j ?y crois pas beaucoup à cette révolution des nouveaux Biznessmen de l ?Information et de la Communication. "
et je ne suis pas tout à fait d’accord. La phrase initiale ne laissait-elle pas entendre la possibilité de vendre un bien matériel (un bouquin quoi) par l’intermédiaire d’Internet (qui fait alors office de moyen d’autopromotion), en addition au simple téléchargement. L’objection que vous soulevez devient alors nulle : on ne négocie plus quelque chose d’immatériel mais un livre (quoi de plus concret ?).
Pour ma part j’ai autoédité un livre, non pas dans le but de gagner ma vie avec, mais simplement parce que c’est le seul moyen que j’ai trouvé de rentrer justement en possesion de ce fameux bien matériel, gavé de ne voir mes textes que sur un scintillant écran d’ordinateur. Résultat : avec un tiers des ouvrages vendus, je suis rentré dans mes frais. Tout ceux qui suivront, ce sera de l’argent de poche. Pour mémoire, un tiers c’est environ 33%. Donc plus de 66% pour moi (loin des 10% d’un livre édité par un ’grand’). Après, c’est vrai que le tirage est beaucoup plus limité.
Voilà, c’étaient mes 2 centimes à moi aussi (qui ait eu une colle d’allemand sur un texte du Zeitung où Gates prédisait la fin du livre papier pour 2004 ;-).