> 2. Deuxième partie : Confrontation avec le droit d’auteur
9 avril 2004, 08:12, par Marc Mousli
Dans votre article sur le droit d’auteur, vous parlez surtout d’inspiration, et guère de transpiration. Si l’on considère le support le plus ancien : le livre, il est clair que l’inspiration est superflue, nécessaire ou capitale selon le type d’ouvrage. Mais ce qui est toujours totalement indispensable, ce sont les centaines d’heures de lecture, de rédaction, de relecture, de corrections ... un travail considérable. Pour écrire un livre de 250 pages, il faut au minimum un an de travail à mi-temps. Comment rémunérer ce temps si le droit d’auteur n’existe plus ?
Dans votre article sur le droit d’auteur, vous parlez surtout d’inspiration, et guère de transpiration. Si l’on considère le support le plus ancien : le livre, il est clair que l’inspiration est superflue, nécessaire ou capitale selon le type d’ouvrage. Mais ce qui est toujours totalement indispensable, ce sont les centaines d’heures de lecture, de rédaction, de relecture, de corrections ... un travail considérable. Pour écrire un livre de 250 pages, il faut au minimum un an de travail à mi-temps. Comment rémunérer ce temps si le droit d’auteur n’existe plus ?