Restreignons un instant le problème au "piratage" dit "musical".
Au nom de quoi ces conglomérats, en nouveaux inquisiteurs, exhortent les lois à pourfendre ceux qui oseraient se dresser contre le sacro-saint droit d’auteur, et à traquer ces hérétiques (qu’ils soient brûlés !) ?
Naïvement, au nom des auteurs, pourraient-on croire. Mauvaise réponse. Sur les 20 euros standart que coûtent un CD, l’artiste n’en touche qu’une fraction infime, le plus souvent 2, 3 euros. Evidemment, frais d’enregistrement (Soit. On admet), frais de mise en boîte (fermons les yeux), de publicité (mouais), ainsi que, je vous le donne en mille, un bon 20% qui va tout droit dans l’escarcelle d’Univers-sale, Veurjin ou autre ogre dans ce pays de petits poucets.
Evidemment, toute chasse aux sorcières a toujours une raison première. De quel droit ? Mais du droit du plus fort bien sur ! Allons nous laisser de tels tribunaux d’inquisition se légaliser ?
Restreignons un instant le problème au "piratage" dit "musical".
Au nom de quoi ces conglomérats, en nouveaux inquisiteurs, exhortent les lois à pourfendre ceux qui oseraient se dresser contre le sacro-saint droit d’auteur, et à traquer ces hérétiques (qu’ils soient brûlés !) ?
Naïvement, au nom des auteurs, pourraient-on croire. Mauvaise réponse. Sur les 20 euros standart que coûtent un CD, l’artiste n’en touche qu’une fraction infime, le plus souvent 2, 3 euros. Evidemment, frais d’enregistrement (Soit. On admet), frais de mise en boîte (fermons les yeux), de publicité (mouais), ainsi que, je vous le donne en mille, un bon 20% qui va tout droit dans l’escarcelle d’Univers-sale, Veurjin ou autre ogre dans ce pays de petits poucets.
Evidemment, toute chasse aux sorcières a toujours une raison première. De quel droit ? Mais du droit du plus fort bien sur ! Allons nous laisser de tels tribunaux d’inquisition se légaliser ?