Non, en l’espèce, pour la redevance récoltée par le CFC pour le compte "des auteurs et des éditeurs", le CFC paie l’éditeur à charge pour ce dernier de donner sa part à chaque auteur individuellement. Par ex. avec les droits annuels classiques.
La question que l’on se pose (enfin, une des questions possibles), c’est le destin de ces 100 MF une fois dans la caisse de l’éditeur. Réponse provisoire et très partielle : dans deux cas au moins que je connais, l’éditeur a gardé les sous. Pour l’instant.
Seconde question. Le CFC a-t-il le désir, et les moyens, de faire payer ? Si la réponse n’est pas oui, et oui, c’est Arnaque à Carnac, et Loubards à Zanzibar. Mais on va le savoir, forcément...
Si l’on connaît des auteurs malpercevants, leur dire de me joindre.
Non, en l’espèce, pour la redevance récoltée par le CFC pour le compte "des auteurs et des éditeurs", le CFC paie l’éditeur à charge pour ce dernier de donner sa part à chaque auteur individuellement. Par ex. avec les droits annuels classiques.
La question que l’on se pose (enfin, une des questions possibles), c’est le destin de ces 100 MF une fois dans la caisse de l’éditeur. Réponse provisoire et très partielle : dans deux cas au moins que je connais, l’éditeur a gardé les sous. Pour l’instant.
Seconde question. Le CFC a-t-il le désir, et les moyens, de faire payer ? Si la réponse n’est pas oui, et oui, c’est Arnaque à Carnac, et Loubards à Zanzibar. Mais on va le savoir, forcément...
Si l’on connaît des auteurs malpercevants, leur dire de me joindre.