J’utilise depuis trois ans trois OS non-crosoft : un système UNIX sur les Suns de l’Ecole, freebsd sur les PCs, et Linux sur ma babasse personnelle. J’ai certes bénéficié de l’aide des élèves informaticiens, mais un littéraire comme moi arrive bien à utiliser une distribution de linux peu user friendly (une Debian sarge).
Je n’ai jamais eu de problèmes de compatibilité : antiword et OpenOffice me permettent de communiquer sans problème avec le monde windows sans un seul logiciel à eux, xmms et mplayer fonctionnent très bien, de même que Netscape et Mozilla.
Le seul domaine où existent des problèmes de compatibilité est celui des jeux. C’est d’ailleurs pour cela que je garde une partition windows. Maintenant, il faut garder à l’esprit que l’usage ludique des PCs représente une part de marché faible, et que les éditeurs sortiraient des jeux sur Linux si le marché était suffisant.
D’ailleurs, l’installation de périphérique s’est notoirement améliorée sur les cliquodromes du type Mandrake ou Red Hat. Je garde en revanche le souvenir douloureux d’installation d’une connexion adsl sur Windows. La référence en la matière reste d’ailleurs MacOS, qui s’intalle avec X périphériques en une seule passe.
Comment je conçois un PCs sans logiciel Microsoft, donc ? Très facilement : il y en a une bonne cinquantaine dans les salles informatiques de mon Ecole, et je connais une dizaine de personnes qui ont viré Windows de leur PC.
J’utilise depuis trois ans trois OS non-crosoft : un système UNIX sur les Suns de l’Ecole, freebsd sur les PCs, et Linux sur ma babasse personnelle. J’ai certes bénéficié de l’aide des élèves informaticiens, mais un littéraire comme moi arrive bien à utiliser une distribution de linux peu user friendly (une Debian sarge).
Je n’ai jamais eu de problèmes de compatibilité : antiword et OpenOffice me permettent de communiquer sans problème avec le monde windows sans un seul logiciel à eux, xmms et mplayer fonctionnent très bien, de même que Netscape et Mozilla.
Le seul domaine où existent des problèmes de compatibilité est celui des jeux. C’est d’ailleurs pour cela que je garde une partition windows. Maintenant, il faut garder à l’esprit que l’usage ludique des PCs représente une part de marché faible, et que les éditeurs sortiraient des jeux sur Linux si le marché était suffisant.
D’ailleurs, l’installation de périphérique s’est notoirement améliorée sur les cliquodromes du type Mandrake ou Red Hat. Je garde en revanche le souvenir douloureux d’installation d’une connexion adsl sur Windows. La référence en la matière reste d’ailleurs MacOS, qui s’intalle avec X périphériques en une seule passe.
Comment je conçois un PCs sans logiciel Microsoft, donc ? Très facilement : il y en a une bonne cinquantaine dans les salles informatiques de mon Ecole, et je connais une dizaine de personnes qui ont viré Windows de leur PC.