Le problème de fond vient du piratage qui prend une ampleur inquiétante (pour les majors) du fait des réseaux d’échanges P2P.
Ne serait il pas plus judicieux de la part de l’industrie du disque de renverser le modèle ? C’est à dire de ne pas considérer les usager des réseaux P2P comme des pirates, mes comme autant de distributeurs potentiels. Et les rémunérer comme tels.
Les consommateurs qui sont prêts à dépenser des sommes considérables dans des ordinateurs, graveurs, connexions haut débit et autres consommables, sont prêts (à mon avis) à payer une somme "raisonnable" pour du contenu.
N’est-ce pas également à la communauté des internautes et particuliérement celle du logiciel libre à inventer un système où chacun y trouve son compte, de l’artiste à l’auditeur en passant par tous les acteurs de la chaîne, sans qu’aucun ne puissent capter des marges collossales au détriment de l’utilisateur final.
Le problème de fond vient du piratage qui prend une ampleur inquiétante (pour les majors) du fait des réseaux d’échanges P2P.
Ne serait il pas plus judicieux de la part de l’industrie du disque de renverser le modèle ? C’est à dire de ne pas considérer les usager des réseaux P2P comme des pirates, mes comme autant de distributeurs potentiels. Et les rémunérer comme tels.
Les consommateurs qui sont prêts à dépenser des sommes considérables dans des ordinateurs, graveurs, connexions haut débit et autres consommables, sont prêts (à mon avis) à payer une somme "raisonnable" pour du contenu.
N’est-ce pas également à la communauté des internautes et particuliérement celle du logiciel libre à inventer un système où chacun y trouve son compte, de l’artiste à l’auditeur en passant par tous les acteurs de la chaîne, sans qu’aucun ne puissent capter des marges collossales au détriment de l’utilisateur final.