26 juillet 2003, 12:16, par uliette.tristan@vthomepage.zzn.com
J’ai lu le Canard pendant des lustres sans en louper un numéro, même à l’étranger. Depuis que je fais de la presbytie, j’ai un peu levé le pied. Je n’ai pas dit "myopie", (au sens figuré). Bien sur il existe cette question fondamentale et redondante,un organe de presse comme le Canard peut-il conserver la même qualité, la même pertinence durant des décennies alors qu’il change de rédacteur en chef, de personnel... C’est une question que je me suis toujours posée, vu que le volatile est né bien avant moi. Mais ceci étant dit, il présente l’énorme avantage d’exposer en très peu d’espace un maximum d’informations (une fois que l’on s’est familiarisé avec sa lecture). Ce qui n’est pas toujours le cas, loin s’en faut et l’article de m. Arno en est la brillante illustration, de nombre d’écrits ou de pamphlets sur le net où certains s’épanchent sur des centaines de lignes pour souvent ne pas dire grand chose. Donc je vais faire court aussi. Enlevez le Carnard et regardez ce qui reste... Je crois qu’il s’agit moins de tirer sur une ambulance que de cracher dans une soupe élaborée avec des exigences qu’il est parfois difficile de s’appliquer à soi-même. Ce qui nous ramènerait facilement à des images de psychanalyse de comptoir...
J’ai lu le Canard pendant des lustres sans en louper un numéro, même à l’étranger. Depuis que je fais de la presbytie, j’ai un peu levé le pied. Je n’ai pas dit "myopie", (au sens figuré). Bien sur il existe cette question fondamentale et redondante,un organe de presse comme le Canard peut-il conserver la même qualité, la même pertinence durant des décennies alors qu’il change de rédacteur en chef, de personnel... C’est une question que je me suis toujours posée, vu que le volatile est né bien avant moi. Mais ceci étant dit, il présente l’énorme avantage d’exposer en très peu d’espace un maximum d’informations (une fois que l’on s’est familiarisé avec sa lecture). Ce qui n’est pas toujours le cas, loin s’en faut et l’article de m. Arno en est la brillante illustration, de nombre d’écrits ou de pamphlets sur le net où certains s’épanchent sur des centaines de lignes pour souvent ne pas dire grand chose. Donc je vais faire court aussi. Enlevez le Carnard et regardez ce qui reste... Je crois qu’il s’agit moins de tirer sur une ambulance que de cracher dans une soupe élaborée avec des exigences qu’il est parfois difficile de s’appliquer à soi-même. Ce qui nous ramènerait facilement à des images de psychanalyse de comptoir...
Voir en ligne : Cracher dans la soupe