"son faible niveau grammatical nous indique aussi un tempérament porté plus sur la dépense physique que sur l’érudition."
eh eh eh...
Je propose une réforme COMPLETE du système d’enseignement, à commencer... par le gouvernement...
:-D :-D :-D
[D’ailleurs, je ne comprends pas qu’un philosophe de salons parisiens sans expérience de l’enseignement puisse participer à l’élaboration de programmes ou devenir ministre de l’éducation nationale (comme un oiseau...)]
"C’est sans malice que je propose cette solution : donnons un avenir à ces jeunes, et un avenir à la France. "
> En théorie, c’est ce que j’aimerais ; mais en pratique, qu’ai-je à offrir ? J’ai l’impression d’expliquer comment nouer ses lacets à quelqu’un qui doit grimper l’Himalaya... tout en sachant, comme le disent eux-même les élèves, que le BAC est devenu le brevet des collèges en moins de 4 ans...
De l’abnégation, j’en ai, une volonté de les motiver aussi, mais j’ai juste parfois l’impression d’être mère Thérésa (ça ne te rappelle rien, juste en dessous ?)
Ce que je revendique, ce sont des objectifs faisables.
Je ne vois aucun inconvénient à enseigner à ces élèves, à condition qu’on me dise que l’objectif est la maîtrise de la langue. Point. Et qu’on me donne le droit d’enseigner en conséquence.
"Facilitons l’engagement de ce genre d’individu dans une armée de métier"
> certes, au moins, à l’armée, ils apprennent à lire.
Et là, on ne fait pas dans les méthodes infantilisantes...
:))
"son faible niveau grammatical nous indique aussi un tempérament porté plus sur la dépense physique que sur l’érudition."
eh eh eh...
Je propose une réforme COMPLETE du système d’enseignement, à commencer... par le gouvernement...
:-D :-D :-D
[D’ailleurs, je ne comprends pas qu’un philosophe de salons parisiens sans expérience de l’enseignement puisse participer à l’élaboration de programmes ou devenir ministre de l’éducation nationale (comme un oiseau...)]
"C’est sans malice que je propose cette solution : donnons un avenir à ces jeunes, et un avenir à la France. "
> En théorie, c’est ce que j’aimerais ; mais en pratique, qu’ai-je à offrir ? J’ai l’impression d’expliquer comment nouer ses lacets à quelqu’un qui doit grimper l’Himalaya... tout en sachant, comme le disent eux-même les élèves, que le BAC est devenu le brevet des collèges en moins de 4 ans...
De l’abnégation, j’en ai, une volonté de les motiver aussi, mais j’ai juste parfois l’impression d’être mère Thérésa (ça ne te rappelle rien, juste en dessous ?)
Ce que je revendique, ce sont des objectifs faisables.
Je ne vois aucun inconvénient à enseigner à ces élèves, à condition qu’on me dise que l’objectif est la maîtrise de la langue. Point. Et qu’on me donne le droit d’enseigner en conséquence.
"Facilitons l’engagement de ce genre d’individu dans une armée de métier"
> certes, au moins, à l’armée, ils apprennent à lire.
Et là, on ne fait pas dans les méthodes infantilisantes...
:))
"Allez, courage ..."
> merci, merci !
;-)