" ...ce qui fera un bon enseignant, c’est souvent plus la passion qu’il a pour son métier et sa matière que des techniques précises. "
> complétement d’accord, mais le nombre de profs "passionnés" est , me semble t-il, très (trop) faible. D’où ce problème majeur (et sans caricaturer plus que de raison) : après des années à la fac, quelle autre solution que de devenir prof ? pas des masses, donc hop, je deviens prof.
Pas de bol, "on" balance ces jeunes gens sans grandes vocations au casse pipe .... (spéciale dédicasse pour le 93,92 ou 78 ;)
Pourquoi venir pleurer après, si on ne choisi cette profession que par défaut, qu’aucune conviction personnelle ne nous pousse vers l’enseignement ???? Et oui, prof c’est un métier, sûrement un des plus difficile, alors il faudrait peut-être penser au challenge avant de penser aux congés payés. Je ne parle bien entendu que de ces profs "par défaut", mais il compose (pour moi) la majorité du cheptel. Être prof, c’est "avoir envie" d’aller dans une zep, ou au moins ne pas en avoir peur, sinon on se casse les dents ,et pire, on se fait royalement chier.
Cela ne règlerait pas le problème des élèves si on "supprimait" les profs "qui n’ont rien à foutre là", au contraire, la pénurie d’enseignant serait énorme. Je ne prétend pas du tout avoir de solutions pour améliorer ce système éducatif (qui est , il faut l’avouer, perpetuellement "menacé" depuis des décennies :)).
Je voulais juste parler du problèmes des profs qui pleurnichent : avez-vous vraiment choisi ce métier ? Si oui je pleure avec vous, et sincérement. Sinon je rigole, car ce sont des gens assez instruits pour savoir où il mettent les pieds, et bifurquer au bout du premier stage.
" ...ce qui fera un bon enseignant, c’est souvent plus la passion qu’il a pour son métier et sa matière que des techniques précises. "
> complétement d’accord, mais le nombre de profs "passionnés" est , me semble t-il, très (trop) faible. D’où ce problème majeur (et sans caricaturer plus que de raison) : après des années à la fac, quelle autre solution que de devenir prof ? pas des masses, donc hop, je deviens prof.
Pas de bol, "on" balance ces jeunes gens sans grandes vocations au casse pipe .... (spéciale dédicasse pour le 93,92 ou 78 ;)
Pourquoi venir pleurer après, si on ne choisi cette profession que par défaut, qu’aucune conviction personnelle ne nous pousse vers l’enseignement ???? Et oui, prof c’est un métier, sûrement un des plus difficile, alors il faudrait peut-être penser au challenge avant de penser aux congés payés. Je ne parle bien entendu que de ces profs "par défaut", mais il compose (pour moi) la majorité du cheptel. Être prof, c’est "avoir envie" d’aller dans une zep, ou au moins ne pas en avoir peur, sinon on se casse les dents ,et pire, on se fait royalement chier.
Cela ne règlerait pas le problème des élèves si on "supprimait" les profs "qui n’ont rien à foutre là", au contraire, la pénurie d’enseignant serait énorme. Je ne prétend pas du tout avoir de solutions pour améliorer ce système éducatif (qui est , il faut l’avouer, perpetuellement "menacé" depuis des décennies :)).
Je voulais juste parler du problèmes des profs qui pleurnichent : avez-vous vraiment choisi ce métier ? Si oui je pleure avec vous, et sincérement. Sinon je rigole, car ce sont des gens assez instruits pour savoir où il mettent les pieds, et bifurquer au bout du premier stage.