Je remarque (non sans amusement) que vous n’avez pas répondu à ma question...
Voici un lien destiné à apporter de l’eau au moulin...
(mais pas de l’huile sur le feu, j’espère...)
(N.B. je ne suis pas acquis à une idéologie politique ; en humaniste, je recherche seulement l’équilibre de l’Homme au sein de la société).
1) Centre de développement de l’OCDE - Cahiers de politique économique n°13, 1996 :
"La faisabilité politique de l’ajustement" - Extraits
"Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement."
Christian Morisson
2) lien ci-dessous montrant la proximité entre Allègre et l’OCDE :
Entretiens Friedland du 11 février 2002 - organisés par la chambre de commerce et d’industrie de Paris
Ce sont des citations brèves hors contexte, mais elles sont suffisamment claire pour être univoques...
En particulier Boisivon (de l’IUFM) :
"On ne doit pas dire : l’élève est au centre du système éducatif mais : le client est au centre du marché."
et Allègre :
"Aux Etats-Unis, le système scolaire est bon parce qu’il a réussi à proposer un enseignement d’élite et un enseignement de masse."
"L’ordinateur sera l’outil du changement. Le rôle de l’enseignant sera, par exemple de dire : « Toi le logiciel machin, il ne te va pas. Prends donc le logiciel untel. »"
Les sources ne sont peut-être pas parfaitement fiables (???), mais les propos concordent parfaitement avec la politique et la pensée de ces deux hommes (la fascination d’Allègre pour le "modèle" américain ne saurait être mise en cause).
N.B. Je répondrai à vos questions dès que j’en ai le temps... (il y a de quoi dire...)
Je remarque (non sans amusement) que vous n’avez pas répondu à ma question...
Voici un lien destiné à apporter de l’eau au moulin...
(mais pas de l’huile sur le feu, j’espère...)
(N.B. je ne suis pas acquis à une idéologie politique ; en humaniste, je recherche seulement l’équilibre de l’Homme au sein de la société).
1) Centre de développement de l’OCDE - Cahiers de politique économique n°13, 1996 :
"La faisabilité politique de l’ajustement" - Extraits
"Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement."
Christian Morisson
2) lien ci-dessous montrant la proximité entre Allègre et l’OCDE :
Entretiens Friedland du 11 février 2002 - organisés par la chambre de commerce et d’industrie de Paris
Ce sont des citations brèves hors contexte, mais elles sont suffisamment claire pour être univoques...
En particulier Boisivon (de l’IUFM) :
"On ne doit pas dire : l’élève est au centre du système éducatif mais : le client est au centre du marché."
et Allègre :
"Aux Etats-Unis, le système scolaire est bon parce qu’il a réussi à proposer un enseignement d’élite et un enseignement de masse."
"L’ordinateur sera l’outil du changement. Le rôle de l’enseignant sera, par exemple de dire : « Toi le logiciel machin, il ne te va pas. Prends donc le logiciel untel. »"
Les sources ne sont peut-être pas parfaitement fiables (???), mais les propos concordent parfaitement avec la politique et la pensée de ces deux hommes (la fascination d’Allègre pour le "modèle" américain ne saurait être mise en cause).
N.B. Je répondrai à vos questions dès que j’en ai le temps... (il y a de quoi dire...)
D.
Voir en ligne : Du rapport attesté entre Allègre et l’OCDE