Un témoignage d’enseignant pour attirer votre attention sur la politique d’enseignement actuel.
Le niveau baisse sans cesse, et les nouvelles réformes ne cessent de diminuer le contenu de l’enseignement, en le remplaçant par un apprentissage de méthodes sans contenu.
Ils sont sensés écrire sans apprendre la grammaire, penser en étant privés de culture, calculer sans connaître les quatre opérations, etc...
Tout ceci fait partie d’une politique volontaire dont les résultats (catastrophiques) justifient les nouvelles réformes visant à baisser le niveau.
Gruge de l’école ? NON.
SCANDALE.
Par la négation de l’accès à la culture, les heures de vie de classe, de pseudo-débats sans connaissances préalables, d’apprentissage à apprendre (et non d’apprentissage tout court), on vise à créer une pensée non alimentée, qui tourne à vide, à destructurer l’individu, à lui refuser les moyens de réfléchir sur le monde, et donc... de contester.
Si vous n’êtes pas au courant, la réforme Allègre (restée) remplace, au BAC, l’argumentation par la rédaction d’imagination du collège !
Vous ne rêvez pas.
Il y aurait des tonnes de choses à dire. Par exemple, que l’introduction de l’informatique en primaire a pour but l’asservissement à l’ordinateur (notamment à l’informatique déloyale) et à faire du commerce (but avoué dans les textes de l’OCDE, dont les grands traits étaient répétés par Allègre).
Mais aussi à permettre la cybersurveillance généralisée.
De nombreux enseignants tentent de se révolter, mais on nous marginalise, dans la mesure où toute pensée opposée aux réformes européennes (dites nouvelles) devient une pensée vieux-jeu dans la bouche des médias étatiques.
Nous luttons pour une école vraie, où un diplôme ait de la valeur, où les élèves reçoivent un enseignement véritable qui leur permettent de structurer leur pensée ; il ne s’agit pas de retour en arrière, mais de plaidoyer pour un dégagement de l’école de la politique économique européenne qui renforce les inégalités sociales sous prétexte de les atténuer, et qui aliène l’individu pour faciliter la mise en place d’une société digne de 1984.
Voyez le site très sérieux (auquel je ne participe d’ailleurs pas, faute de temps) http://sauv.net
> des LIENS TRES NOMBREUX ET TRES SERIEUX
(tous les niveaux sont concernés)
> des analyses qui recherchent l’objectivité
Nous menons le même combat.
N.B. votre fille est confrontée, si je ne me trompe pas, aux "Itinéraires de découverte", une invention très critiquée par les enseignants (du moins ceux qui acceptent de voir et de lutter).
Un témoignage d’enseignant pour attirer votre attention sur la politique d’enseignement actuel.
Le niveau baisse sans cesse, et les nouvelles réformes ne cessent de diminuer le contenu de l’enseignement, en le remplaçant par un apprentissage de méthodes sans contenu.
Ils sont sensés écrire sans apprendre la grammaire, penser en étant privés de culture, calculer sans connaître les quatre opérations, etc...
Tout ceci fait partie d’une politique volontaire dont les résultats (catastrophiques) justifient les nouvelles réformes visant à baisser le niveau.
Gruge de l’école ? NON.
SCANDALE.
Par la négation de l’accès à la culture, les heures de vie de classe, de pseudo-débats sans connaissances préalables, d’apprentissage à apprendre (et non d’apprentissage tout court), on vise à créer une pensée non alimentée, qui tourne à vide, à destructurer l’individu, à lui refuser les moyens de réfléchir sur le monde, et donc... de contester.
Si vous n’êtes pas au courant, la réforme Allègre (restée) remplace, au BAC, l’argumentation par la rédaction d’imagination du collège !
Vous ne rêvez pas.
Il y aurait des tonnes de choses à dire. Par exemple, que l’introduction de l’informatique en primaire a pour but l’asservissement à l’ordinateur (notamment à l’informatique déloyale) et à faire du commerce (but avoué dans les textes de l’OCDE, dont les grands traits étaient répétés par Allègre).
Mais aussi à permettre la cybersurveillance généralisée.
De nombreux enseignants tentent de se révolter, mais on nous marginalise, dans la mesure où toute pensée opposée aux réformes européennes (dites nouvelles) devient une pensée vieux-jeu dans la bouche des médias étatiques.
Nous luttons pour une école vraie, où un diplôme ait de la valeur, où les élèves reçoivent un enseignement véritable qui leur permettent de structurer leur pensée ; il ne s’agit pas de retour en arrière, mais de plaidoyer pour un dégagement de l’école de la politique économique européenne qui renforce les inégalités sociales sous prétexte de les atténuer, et qui aliène l’individu pour faciliter la mise en place d’une société digne de 1984.
Voyez le site très sérieux (auquel je ne participe d’ailleurs pas, faute de temps) http://sauv.net
> des LIENS TRES NOMBREUX ET TRES SERIEUX
(tous les niveaux sont concernés)
> des analyses qui recherchent l’objectivité
Nous menons le même combat.
N.B. votre fille est confrontée, si je ne me trompe pas, aux "Itinéraires de découverte", une invention très critiquée par les enseignants (du moins ceux qui acceptent de voir et de lutter).
N.B.2 Heureusement, il semble qu’il y ait enfin un peut de changement (très récent) :
http://membres.lycos.fr/sauvonsecole/communique%20de%20presse%20du%2028%20nov%2002%20ministere.htm
Reste à voir si l’évolution sera réelle.
Voir en ligne : Site du collectif Sauvez les Lettres