> Pouvez-vous faire confiance à votre ordinateur ?
9 janvier 2003, 09:52, par asr
La neutralité du logiciel peut très bien être utilisé pour faire passer la pilule.
Personellement, j’ai toujours tendance à me méfier des gens qui prennent le pouvoir en disant "on ne va pas l’utiliser".
C’est comme si un président de la république disait : "on a un problème, il faut accélérer les choses. Le parlement, c’est trop lent. Donnez-moi les plein pouvoirs pour 2 semaines, j’ai plein de trucs à faire passer, et je vous les rend après". Ca s’est vu, non ? Avez-vous déjà vu un président rendre les plein pouvoirs ainsi pris ?
Personellement, je ne donnerais pas les clés de mon appartement à quelqu’un qui pourrait en vendre les photos et en tirer du profit. Je ne fais donc pas confiance à Microsoft ... pour la suite.
Une dernière parabole, connaissait vous Raminagrobis ? Non. Et Sher Kaan ? Ayez confiance.
Tiens, en passant, il me semble avoir entendu il y a quelques années, à propos d’un candidat à la présidence : "Non, il a changé, tout le monde l’a trahi. Ce n’est plus le même homme."
Une fois président, étais-ce toujours un homme différent de la réputation qu’il avait auparavant ?
La neutralité du logiciel peut très bien être utilisé pour faire passer la pilule.
Personellement, j’ai toujours tendance à me méfier des gens qui prennent le pouvoir en disant "on ne va pas l’utiliser".
C’est comme si un président de la république disait : "on a un problème, il faut accélérer les choses. Le parlement, c’est trop lent. Donnez-moi les plein pouvoirs pour 2 semaines, j’ai plein de trucs à faire passer, et je vous les rend après". Ca s’est vu, non ? Avez-vous déjà vu un président rendre les plein pouvoirs ainsi pris ?
Personellement, je ne donnerais pas les clés de mon appartement à quelqu’un qui pourrait en vendre les photos et en tirer du profit. Je ne fais donc pas confiance à Microsoft ... pour la suite.
Une dernière parabole, connaissait vous Raminagrobis ? Non. Et Sher Kaan ? Ayez confiance.
Tiens, en passant, il me semble avoir entendu il y a quelques années, à propos d’un candidat à la présidence : "Non, il a changé, tout le monde l’a trahi. Ce n’est plus le même homme."
Une fois président, étais-ce toujours un homme différent de la réputation qu’il avait auparavant ?