"Dans le rôle de son propre fossoyeur", êtes-vous dupe au point de croire en cette foutaise ? Cette pseudo-autodérision et prétendue autocritique ne sont que des leurres du produit Beigbeder. C’est comme s’il disait "je n’ai rien d’autre à dévoiler, je ne puis vous mentir ou vous cacher quoi que ce soit puisque je me suis mis à nu publiquement et me critique moi-même." Cette façon (bien habile) de se mettre au-dessus de la critique ne trompe personne. Ce procédé ou jeu (il s’agit bien d’un rôle) relève de la manipulation propre à la publicité : on vous a tout dit sur les secrets de ce produit miraculeux, il ne vous reste plus qu’à l’acheter. Autre exemple, croyez-vous vraiment que la pseudo-critique des milliardaires dans Rester Normal soit une façon satirique de dénoncer l’argent-roi ? Cela n’est qu’une piteuse justification servant en réalité à montrer des femme-objets aux fesses rondes et aux seins pointus. Et pourquoi ne voit-on pas un seul pénis en érection dans cette BeigBD mais uniquement des hommes rachitiques ou bedonnants ? Cela n’a rien à voir avec cette prétendue dénonciation du mode de vie des super riches. Au contraire, Rester Normal nous rebaisse une fois de plus à un objet de consommation comme les autres... puisque le cul fait vendre et fait devenir Frédéric Beigbeder encore plus riche. Les éditeurs ont compris, avec le succès des récits érotiques de masse comme La vie sexuelle de Catherine M, Frédéric Beigbeder n’a pas pu résister aux lois du marketing (qu’il connaît si bien) et est devenu un marchand de cul. Plus besoin d’écrire (ou si peu et mal) puisqu’une image vaut mille mots ! Effort minimum pour un maximum de profits. Les auteurs sont d’abord tous vierges, puis certains font la putain. Certains ego ne résistent pas aux appas du gain et de la gloire à tout prix. Nous humilier avec des images dégradantes et condescendantes dans lesquelles la très grande majorité des femmes ne se reconnaissent pas, est-ce une façon satirique de critiquer la vie des milliardaires ou une autre astuce rentable pour satisfaire le voyeurisme de mâles en manque d’affection ? Écrivains médiatiques, libertins et faux-monnayeurs, tous pareils : les feux de la rampe les font rêver. Frédéric Beigbeder (l’auto-fossoyeur) vient de s’y brûler les ailes.
"Dans le rôle de son propre fossoyeur", êtes-vous dupe au point de croire en cette foutaise ? Cette pseudo-autodérision et prétendue autocritique ne sont que des leurres du produit Beigbeder. C’est comme s’il disait "je n’ai rien d’autre à dévoiler, je ne puis vous mentir ou vous cacher quoi que ce soit puisque je me suis mis à nu publiquement et me critique moi-même." Cette façon (bien habile) de se mettre au-dessus de la critique ne trompe personne. Ce procédé ou jeu (il s’agit bien d’un rôle) relève de la manipulation propre à la publicité : on vous a tout dit sur les secrets de ce produit miraculeux, il ne vous reste plus qu’à l’acheter. Autre exemple, croyez-vous vraiment que la pseudo-critique des milliardaires dans Rester Normal soit une façon satirique de dénoncer l’argent-roi ? Cela n’est qu’une piteuse justification servant en réalité à montrer des femme-objets aux fesses rondes et aux seins pointus. Et pourquoi ne voit-on pas un seul pénis en érection dans cette BeigBD mais uniquement des hommes rachitiques ou bedonnants ? Cela n’a rien à voir avec cette prétendue dénonciation du mode de vie des super riches. Au contraire, Rester Normal nous rebaisse une fois de plus à un objet de consommation comme les autres... puisque le cul fait vendre et fait devenir Frédéric Beigbeder encore plus riche. Les éditeurs ont compris, avec le succès des récits érotiques de masse comme La vie sexuelle de Catherine M, Frédéric Beigbeder n’a pas pu résister aux lois du marketing (qu’il connaît si bien) et est devenu un marchand de cul. Plus besoin d’écrire (ou si peu et mal) puisqu’une image vaut mille mots ! Effort minimum pour un maximum de profits. Les auteurs sont d’abord tous vierges, puis certains font la putain. Certains ego ne résistent pas aux appas du gain et de la gloire à tout prix. Nous humilier avec des images dégradantes et condescendantes dans lesquelles la très grande majorité des femmes ne se reconnaissent pas, est-ce une façon satirique de critiquer la vie des milliardaires ou une autre astuce rentable pour satisfaire le voyeurisme de mâles en manque d’affection ? Écrivains médiatiques, libertins et faux-monnayeurs, tous pareils : les feux de la rampe les font rêver. Frédéric Beigbeder (l’auto-fossoyeur) vient de s’y brûler les ailes.