La fatale liberté ne vient certainement pas du médium mais de l’usage qu’on en fait, autrement dit de l’éducation qu’on a reçu.
Oui c’est le problème classique des sophistes : l’enseignement de la vertu :)
La véritable autonomie suppose la consultation de "vivefinkielkraut.com" et "alain-raconte-des-conneries.org" pour formation ; et Internet est alors un outil très utile. On comprend dans ces conditions que FinkielKraut Corp. revendique le monopole du savoir (ses/les livres, lui) en disqualifiant le médium nouveau et ses intervenants (des victimes de la fatale liberté), qu’il ne connaît pas. Parce qu’au dela du problème culturel, il y a un enjeu politique (« un état d’esprit ultralibertaire », et un petit coup de 68 en passant) et économique : comme si les éditeurs ne vendaient pas de papier et les télévisions des programmes, non le seul centre commercial est Internet (« D’ailleurs que fait-on sur la Toile sinon passer commande ? »)... Sans doute aussi parce que la contradiction n’est pas véritablement et directement présente dans son essai (il y a qu’un reliquat de dialogue à la fin, et aucune discussion théorique sur des textes qui traitent de l’hypertexte, du copyleft, etc.), ni d’ailleurs et plus radicalement dans les médias où il apparaît.
La fatale liberté ne vient certainement pas du médium mais de l’usage qu’on en fait, autrement dit de l’éducation qu’on a reçu.
Oui c’est le problème classique des sophistes : l’enseignement de la vertu :)
La véritable autonomie suppose la consultation de "vivefinkielkraut.com" et "alain-raconte-des-conneries.org" pour formation ; et Internet est alors un outil très utile. On comprend dans ces conditions que FinkielKraut Corp. revendique le monopole du savoir (ses/les livres, lui) en disqualifiant le médium nouveau et ses intervenants (des victimes de la fatale liberté), qu’il ne connaît pas. Parce qu’au dela du problème culturel, il y a un enjeu politique (« un état d’esprit ultralibertaire », et un petit coup de 68 en passant) et économique : comme si les éditeurs ne vendaient pas de papier et les télévisions des programmes, non le seul centre commercial est Internet (« D’ailleurs que fait-on sur la Toile sinon passer commande ? »)... Sans doute aussi parce que la contradiction n’est pas véritablement et directement présente dans son essai (il y a qu’un reliquat de dialogue à la fin, et aucune discussion théorique sur des textes qui traitent de l’hypertexte, du copyleft, etc.), ni d’ailleurs et plus radicalement dans les médias où il apparaît.
Voir en ligne : L’hypertexte : haut lieu de l’intertexte