Légèrement décalé, mais ça vaut le coup de le citer.
Non, cela illustre l’importance de la vie des médias en tant qu’information. En plein dans l’article ! :))
"En revanche, la publicité laisse une marge de manoeuvre par rapport au pouvoir, c’est un gage d’indépendance du service public."
Ah, c’est toujours la légende dorée de l’indépendance face au (mystérieux) pouvoir qui sert, incroyable...C’est vrai que par pouvoir, on doit entendre : parlementaires élus par le peuple qui votent le budget...
"Le service public ne peut pas être pieds et poings liés à un financement étatique, cela me fait peur. Autant que je l’ai vécu, les pressions des annonceurs ont toujours été bien moindres que celle de l’Etat bailleur de fonds."
On se demande dans ces conditions, pourquoi une grande professionnelle (tm) comme elle ne demande pas la privatisation...Ah oui c’est vrai trop de publicité tue la liberté ; donc on est libre et indépendant quand on subit à la fois la pression des annonceurs et du pouvoir qui peut décider de supprimer la publicité ou de privatiser...Enfin elle part à la retraite, pensons à ceux qui restent :
« La légende de l’indépendance du journaliste est presque toujours servie avec le même prélude. Il était une fois en France, dans les années 60, un ministre de l’Information qui pouvait, de son bureau, sonner les responsables de la radio et de la télévision pour leur communiquer ses instructions. »
Il faudra envoyer à Florence Amalou et Bénédicte Mathieu (qui n’oublient pas de questionner la grande professionnelle (tm) sur la "télé-réalité"), la référence d’où est tirée la citation : Serge Halimi, Les nouveaux chiens de garde, Liber, 1997, p.13. Mais il est vrai que l’ouvrage est confidentiel et trop récent. :)
Légèrement décalé, mais ça vaut le coup de le citer.
Non, cela illustre l’importance de la vie des médias en tant qu’information. En plein dans l’article ! :))
"En revanche, la publicité laisse une marge de manoeuvre par rapport au pouvoir, c’est un gage d’indépendance du service public."
Ah, c’est toujours la légende dorée de l’indépendance face au (mystérieux) pouvoir qui sert, incroyable...C’est vrai que par pouvoir, on doit entendre : parlementaires élus par le peuple qui votent le budget...
"Le service public ne peut pas être pieds et poings liés à un financement étatique, cela me fait peur. Autant que je l’ai vécu, les pressions des annonceurs ont toujours été bien moindres que celle de l’Etat bailleur de fonds."
On se demande dans ces conditions, pourquoi une grande professionnelle (tm) comme elle ne demande pas la privatisation...Ah oui c’est vrai trop de publicité tue la liberté ; donc on est libre et indépendant quand on subit à la fois la pression des annonceurs et du pouvoir qui peut décider de supprimer la publicité ou de privatiser...Enfin elle part à la retraite, pensons à ceux qui restent :
« La légende de l’indépendance du journaliste est presque toujours servie avec le même prélude. Il était une fois en France, dans les années 60, un ministre de l’Information qui pouvait, de son bureau, sonner les responsables de la radio et de la télévision pour leur communiquer ses instructions. »
Il faudra envoyer à Florence Amalou et Bénédicte Mathieu (qui n’oublient pas de questionner la grande professionnelle (tm) sur la "télé-réalité"), la référence d’où est tirée la citation : Serge Halimi, Les nouveaux chiens de garde, Liber, 1997, p.13. Mais il est vrai que l’ouvrage est confidentiel et trop récent. :)
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