Les gars, si vous n’arrivez plus à soigner la typo et l’orthographe, engagez un correcteur... Ca devient moins bien sur la forme.
Quant au fond, car c’est évidemment tout ce qui compte, le paragraphe démago sur le photocopillage atteint des sommets. Peu importe les messages officiels sur le "photocopillage", un peu ridicules et hypocrites ; le fait est que seuls les éditeurs garantissent l’existence du livre. Parce qu’ils financent avec les recettes des gros vendeurs les frais d’impression et de distribution des gens qui ne vendront jamais, garantissant ainsi leur liberté d’expression. Donc ce qui tue les éditeurs tue le livre. Même si ça arrache la gueule des rebelles pour qui le monde se divise en deux camps. Commercial et anti-commercial... Donc avant de hurler aux loups, on se documente, on se rend évidemment compte que fabriquer des livres, ça demande du papier, que le papier est cher, bien plus cher que les tuyaux du Net. Et que le public potentiel n’est pas obligé d’être cyber-branchouillé pour lire. Le public potentiel, c’est tout le monde.
J’ai lu des articles beaucoup plus fins et argumentés, ici. Version 3, bof. On retourne à la presse papier, allez.
(Je ne parle pas du couplet sur les majors qui interdisent le director’s cut, un type avec un petit peu de couilles comme Terry Gilliam vous expliquerait mieux que moi que c’est une excuse facile à l’usage des réalisateurs mous du gland et du cerveau, lui a toujours eu le director’s cut avec les majors. Pour avoir le director’s cut quand on n’a pas de fric ou pas énormément de talent de persuasion, il reste le circuit indépendant, truffé d’incapables mégalos, mais au moins il est indépendant et même les tocards ont le director’s cut.)
En bref, ce discours manichéen me gonfle et vous dessert de plus en plus... La version 3, c’était pas pour passer un cap ?
Les gars, si vous n’arrivez plus à soigner la typo et l’orthographe, engagez un correcteur... Ca devient moins bien sur la forme.
Quant au fond, car c’est évidemment tout ce qui compte, le paragraphe démago sur le photocopillage atteint des sommets. Peu importe les messages officiels sur le "photocopillage", un peu ridicules et hypocrites ; le fait est que seuls les éditeurs garantissent l’existence du livre. Parce qu’ils financent avec les recettes des gros vendeurs les frais d’impression et de distribution des gens qui ne vendront jamais, garantissant ainsi leur liberté d’expression. Donc ce qui tue les éditeurs tue le livre. Même si ça arrache la gueule des rebelles pour qui le monde se divise en deux camps. Commercial et anti-commercial... Donc avant de hurler aux loups, on se documente, on se rend évidemment compte que fabriquer des livres, ça demande du papier, que le papier est cher, bien plus cher que les tuyaux du Net. Et que le public potentiel n’est pas obligé d’être cyber-branchouillé pour lire. Le public potentiel, c’est tout le monde.
J’ai lu des articles beaucoup plus fins et argumentés, ici. Version 3, bof. On retourne à la presse papier, allez.
(Je ne parle pas du couplet sur les majors qui interdisent le director’s cut, un type avec un petit peu de couilles comme Terry Gilliam vous expliquerait mieux que moi que c’est une excuse facile à l’usage des réalisateurs mous du gland et du cerveau, lui a toujours eu le director’s cut avec les majors. Pour avoir le director’s cut quand on n’a pas de fric ou pas énormément de talent de persuasion, il reste le circuit indépendant, truffé d’incapables mégalos, mais au moins il est indépendant et même les tocards ont le director’s cut.)
En bref, ce discours manichéen me gonfle et vous dessert de plus en plus... La version 3, c’était pas pour passer un cap ?
Je ne sais pas, moi... Dégraissez...