Ca me rappel le héros de Ray Bradbury dans "Fahrenheit 451" et la théorie (voir la folie) de ce monde qui, pour nous, est horrifiant avec son uniformité et son caractère statique, en refoulant toutes indépendances. Mais, finalement, le monde n’appartient qu’à nous.
Ca me rappel le héros de Ray Bradbury dans "Fahrenheit 451" et la théorie (voir la folie) de ce monde qui, pour nous, est horrifiant avec son uniformité et son caractère statique, en refoulant toutes indépendances. Mais, finalement, le monde n’appartient qu’à nous.