>Ok, ok, disons que dans l’état, le libraire, le boucher, le curé, etc. font une petite réunion et mettent en commun les données sur "X" et que pour le moment... ils s’interdisent de donner un "nom" à ce "X". Bon allez fin de l’analogie, cela pourrait être tiré par les cheveux à la fin.
Cela va plus loin que ça. Il ne s’agit pas d’un X mais d’un X, X’, X’’, etc.. Chacun, le curé, le libraire, etc. reçoivent des informations socio-démo sur la même personne mais ils sont dans l’incapacité de savoir que c’est la même personne. Ils ne pourraient donc même pas en parler. C’est en ce sens que ces données sont anonymes. Elles le sont non seulement lorsque nous récupérons l’informations mais aussi lorsque nous la renvoyons. Et des hommes de 18 ans étudiants qui aime le foot, y’en a un paquet :o)
>Plus sérieusement : d’une part vous collectez et compilez des informations comportementales, démographiques, socioprofessionnelles et d’autre part, vous pouvez être amenés à collecter des informations nominatives. Vous affirmez ne pas pratiquer de croisements entre ces types d’informations... très bien, chacun peut en prendre acte.
Pour vous donner un exemple, nous avons des données comportementales sur environ 5 million d’internautes et des données nominative (nom et email) sur un peu près 20 000 d’entre eux ! Nous n’allons pas aller bien loin :o)
D’autre part, en réponse à un paragraphe d’un autre article de ce forum, il est très difficile de coupler des informations que nous aurions sur un internautes anonymes (de notre coté) à des informations nominatives récupérées sur un autre site que weborama. Les cookies ont eu la bonne idée de n’être consultable que sur un seule domaine. Seul Weborama peut lire les cookies Weborama. Un site ami ne peut donc pas coupler l’information récupérée par un formulaire au cookie comportementale Weborama (et vice versa). De plus, il faut savoir que dés lors qu’une méthode POST est utilisée pour la soumission de formulaire, l’information n’apparait pas dans les URLs.
>A part les associations et syndicats professionnels, quelles sont ces organisations indépendantes qui vérifient sur le terrain les pratiques des certificateurs d’audience et des régies publicitaires ; qui prennent en compte la dimension internationale de certaines de ces entreprises ; qui analysent leurs systèmes de bases de données, leurs applications ? qui vont contrôler ce que deviennent les fichiers en cas de fusion avec une autre entreprise, en cas de faillite, en cas de déménagement des serveurs ?
Weborama s’engage effectivement sur l’Honneur à répondre à une certaine éthique et personne ne vient vérifier. Maintenant, n’importe qui peut demander une audite des systèmes de Weborama pour vérifier que tout est conforme à l’état de l’Art. Si la presse venait à nous accuser d’abus vis à vis de la vie privée, c’est probablement ce que nous ferions de nous même, par un tiers indépendant, pour nous disculper.
Je crois qu’il y a deux métiers différents : CRM et le profiling.
Le CRM est restreint à un univers défini. Généralement un site marchand. Il étudit précisément la base de données clients et utilise toutes les informations à sa disponibilité. Là, nous sommes clairement identifiés dans nos habitudes de consomations, nos revenus, nos centres d’intérêt, etc.
Il s’agit d’outil de fidelisation du client.
Le profiling est beaucoup plus large. Il s’intéresse à des réseaux de sites. Pour pouvoir exister, il doit obligatoirement restreindre les informations qu’il utilise sur les internautes. La meilleur façon de de le faire est de ne pas collecter d’informations nominatives. Et c’est fondamentales si cette activité professionnelle veut survivre. Et pour Weborama, c’est la base de notre Business. Il s’agit d’outil d’acquisation client.
>Ok, ok, disons que dans l’état, le libraire, le boucher, le curé, etc. font une petite réunion et mettent en commun les données sur "X" et que pour le moment... ils s’interdisent de donner un "nom" à ce "X". Bon allez fin de l’analogie, cela pourrait être tiré par les cheveux à la fin.
Cela va plus loin que ça. Il ne s’agit pas d’un X mais d’un X, X’, X’’, etc.. Chacun, le curé, le libraire, etc. reçoivent des informations socio-démo sur la même personne mais ils sont dans l’incapacité de savoir que c’est la même personne. Ils ne pourraient donc même pas en parler. C’est en ce sens que ces données sont anonymes. Elles le sont non seulement lorsque nous récupérons l’informations mais aussi lorsque nous la renvoyons. Et des hommes de 18 ans étudiants qui aime le foot, y’en a un paquet :o)
>Plus sérieusement : d’une part vous collectez et compilez des informations comportementales, démographiques, socioprofessionnelles et d’autre part, vous pouvez être amenés à collecter des informations nominatives. Vous affirmez ne pas pratiquer de croisements entre ces types d’informations... très bien, chacun peut en prendre acte.
Pour vous donner un exemple, nous avons des données comportementales sur environ 5 million d’internautes et des données nominative (nom et email) sur un peu près 20 000 d’entre eux ! Nous n’allons pas aller bien loin :o)
D’autre part, en réponse à un paragraphe d’un autre article de ce forum, il est très difficile de coupler des informations que nous aurions sur un internautes anonymes (de notre coté) à des informations nominatives récupérées sur un autre site que weborama. Les cookies ont eu la bonne idée de n’être consultable que sur un seule domaine. Seul Weborama peut lire les cookies Weborama. Un site ami ne peut donc pas coupler l’information récupérée par un formulaire au cookie comportementale Weborama (et vice versa). De plus, il faut savoir que dés lors qu’une méthode POST est utilisée pour la soumission de formulaire, l’information n’apparait pas dans les URLs.
>A part les associations et syndicats professionnels, quelles sont ces organisations indépendantes qui vérifient sur le terrain les pratiques des certificateurs d’audience et des régies publicitaires ; qui prennent en compte la dimension internationale de certaines de ces entreprises ; qui analysent leurs systèmes de bases de données, leurs applications ? qui vont contrôler ce que deviennent les fichiers en cas de fusion avec une autre entreprise, en cas de faillite, en cas de déménagement des serveurs ?
Weborama s’engage effectivement sur l’Honneur à répondre à une certaine éthique et personne ne vient vérifier. Maintenant, n’importe qui peut demander une audite des systèmes de Weborama pour vérifier que tout est conforme à l’état de l’Art. Si la presse venait à nous accuser d’abus vis à vis de la vie privée, c’est probablement ce que nous ferions de nous même, par un tiers indépendant, pour nous disculper.
Je crois qu’il y a deux métiers différents : CRM et le profiling.
Le CRM est restreint à un univers défini. Généralement un site marchand. Il étudit précisément la base de données clients et utilise toutes les informations à sa disponibilité. Là, nous sommes clairement identifiés dans nos habitudes de consomations, nos revenus, nos centres d’intérêt, etc.
Il s’agit d’outil de fidelisation du client.
Le profiling est beaucoup plus large. Il s’intéresse à des réseaux de sites. Pour pouvoir exister, il doit obligatoirement restreindre les informations qu’il utilise sur les internautes. La meilleur façon de de le faire est de ne pas collecter d’informations nominatives. Et c’est fondamentales si cette activité professionnelle veut survivre. Et pour Weborama, c’est la base de notre Business. Il s’agit d’outil d’acquisation client.