Mais en plus, ils se font berner par ceux qu’ils croient dénoncer ! Dans leur dossier (en une !) sur le traité sur la cybercriminalité, qu’il est sensé, on relève ce joyau :
"cybercriminalité (pédophilie, piratage ...)"
Un détail ? Bof ... ce n’est pas moi qui l’ai remarqué, mais une victime (une vraie !) d’actes pédophiles (y’a longtemps, évidemment) qui lisait ma copie du journal. La comparaison entre pédophilie — le pire crime ? — et piratage — non-crime sans victime — l’a choquée, et m’a révolté.
Cette comparaison malheureuse n’est d’ailleurs pas fortuite. Elle est l’une des méthodes gobbelienes utilisée par les lobbyistes de la "propriété" intellectuelle.
Oups, pas fini.
Mais en plus, ils se font berner par ceux qu’ils croient dénoncer ! Dans leur dossier (en une !) sur le traité sur la cybercriminalité, qu’il est sensé, on relève ce joyau :
"cybercriminalité (pédophilie, piratage ...)"
Un détail ? Bof ... ce n’est pas moi qui l’ai remarqué, mais une victime (une vraie !) d’actes pédophiles (y’a longtemps, évidemment) qui lisait ma copie du journal. La comparaison entre pédophilie — le pire crime ? — et piratage — non-crime sans victime — l’a choquée, et m’a révolté.
Cette comparaison malheureuse n’est d’ailleurs pas fortuite. Elle est l’une des méthodes gobbelienes utilisée par les lobbyistes de la "propriété" intellectuelle.